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Critique de Athenapan
Que ta chute soit lente est une agréable surprise. Plongée dans le monde des paillettes et du fanatisme, je craignais fortement l'ennui... Or il n'en fut rien ! Bien au contraire !
En effet, à travers ses personnages attachants et emprunts d'une personnalité consciencieusement développée, on se prend totalement au jeu, au coeur de cette course folle dont le commissaire Roy Grace est victime. Gérer à la fois ses hautes responsabilités, la protection d'une star à la renommée internationale, la sortie de prison d'un mafieux qu'il était lui-même parvenu à mettre derrière les barreaux... Et bien évidemment, sa vie d'homme à part entière.
Complot ? Fan manipulateur ? Simple malentendu ? Les chapitres brefs et la fluidité de l'écriture nous font tourner les pages avec envie et impatience. Les retournements de situation nous maintiennent en haleine et il ne nous tarde qu'une chose, connaître enfin le dénouement !
Peter James parvient à transformer un fait divers en parcours du combattant, en course effrénée, sans jamais gommer l'importance des personnages au profit de l'action. 540 pages qui semblent n'en faire que la moitié ! de la substance et de la profondeur malgré un thème qui de prime abord ne laisse pas supposer une constance ou une dimension solides.
J'avais beaucoup aimé déjà, À deux pas de la mort. Peter James peut se lire sans crainte d'une lourde déception.
En effet, à travers ses personnages attachants et emprunts d'une personnalité consciencieusement développée, on se prend totalement au jeu, au coeur de cette course folle dont le commissaire Roy Grace est victime. Gérer à la fois ses hautes responsabilités, la protection d'une star à la renommée internationale, la sortie de prison d'un mafieux qu'il était lui-même parvenu à mettre derrière les barreaux... Et bien évidemment, sa vie d'homme à part entière.
Complot ? Fan manipulateur ? Simple malentendu ? Les chapitres brefs et la fluidité de l'écriture nous font tourner les pages avec envie et impatience. Les retournements de situation nous maintiennent en haleine et il ne nous tarde qu'une chose, connaître enfin le dénouement !
Peter James parvient à transformer un fait divers en parcours du combattant, en course effrénée, sans jamais gommer l'importance des personnages au profit de l'action. 540 pages qui semblent n'en faire que la moitié ! de la substance et de la profondeur malgré un thème qui de prime abord ne laisse pas supposer une constance ou une dimension solides.
J'avais beaucoup aimé déjà, À deux pas de la mort. Peter James peut se lire sans crainte d'une lourde déception.
