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Critique de Pois0n
Certains bouquins sont DOUX. Ça ne veut pas dire que tout y est rose, joie et paillettes, mais qu'il est tout à fait possible d'avoir pour héros un vrai gentleman, pas toxique, pas dominateur, certes hanté par le passé mais sans en faire des caisses, qui sait s'excuser sincèrement et place le bonheur de son entourage avant tout. Ajoutez-y une gamine qui découvre la stabilité et l'affection après n'avoir connu auprès de sa mère qu'une vie dissolue, ainsi qu'une héroïne comme-tout-le-monde qui se retrouve parachutée entre les deux et va, elle aussi, découvrir un équilibre, et vous obtenez « Séduction au palazzo ».
Il y a tellement de bienveillance entre les différents personnages, de fraîcheur et de calme, dans ce livre ! Pas de rivalités ni d'engueulades ici, juste des humains qui se découvrent et s'apprivoisent au gré de la dolce vita à l'italienne. Evandro tombe amoureux de la personnalité de Jenna avant de se laisser séduire par son physique banal, qu'elle apprend elle-même à aimer. Même l'ex revancharde n'apparaît qu'en filigrane, bien que l'on devine d'entrée de jeu la fameuse condition au divorce qui n'est révélée qu'à la fin. le luxe du palazzo est mis en avant à travers son parc, sa roseraie, les bois et collines qui les surplombent, mais on ne peut pas dire qu'Evandro fasse étalage de sa fortune. Résultat : ça fait rêver. Une romance toute douce, une fillette adorable, des paysages enchanteurs, une tea party digne d'Alice au Pays des Merveilles... Même lorsque les complications s'en mêlent, tout ça reste étonnamment doux. Pas de vacheries, pas de disputes. Ça fait un bien fou.
Alors oui, certains rebondissements arrivent un peu comme un cheveu sur la soupe, en particulier à la fin, mais comme dans « L'hiver d'une princesse » lu un peu plus tôt, je soupçonne les coupures abruptes dans le texte d'être apparues avec la traduction française. Évidemment, j'ai prévu de prendre l'édition VO pour vérifier. Mais même ainsi, le bouquin dégage une telle atmosphère de conte de fées qu'il serait dommage de s'en priver. Un des meilleurs Azur que j'ai lus jusque là.
Il y a tellement de bienveillance entre les différents personnages, de fraîcheur et de calme, dans ce livre ! Pas de rivalités ni d'engueulades ici, juste des humains qui se découvrent et s'apprivoisent au gré de la dolce vita à l'italienne. Evandro tombe amoureux de la personnalité de Jenna avant de se laisser séduire par son physique banal, qu'elle apprend elle-même à aimer. Même l'ex revancharde n'apparaît qu'en filigrane, bien que l'on devine d'entrée de jeu la fameuse condition au divorce qui n'est révélée qu'à la fin. le luxe du palazzo est mis en avant à travers son parc, sa roseraie, les bois et collines qui les surplombent, mais on ne peut pas dire qu'Evandro fasse étalage de sa fortune. Résultat : ça fait rêver. Une romance toute douce, une fillette adorable, des paysages enchanteurs, une tea party digne d'Alice au Pays des Merveilles... Même lorsque les complications s'en mêlent, tout ça reste étonnamment doux. Pas de vacheries, pas de disputes. Ça fait un bien fou.
Alors oui, certains rebondissements arrivent un peu comme un cheveu sur la soupe, en particulier à la fin, mais comme dans « L'hiver d'une princesse » lu un peu plus tôt, je soupçonne les coupures abruptes dans le texte d'être apparues avec la traduction française. Évidemment, j'ai prévu de prendre l'édition VO pour vérifier. Mais même ainsi, le bouquin dégage une telle atmosphère de conte de fées qu'il serait dommage de s'en priver. Un des meilleurs Azur que j'ai lus jusque là.
