Il y a des romans que l'on ne sait pas si on aura le coeur de les finir, mais lecteur invétéré, on tient...
Celui-ci a au moins l'avantage d'être tellement plein de redondances, de tournures ou formules répétitives, et si pauvre en imagination, qu'il permet une lecture diagonale mettant vite fin au supplice.
L'auteur se complet à exposer ses fantasmes, prétendant que l'accomplissement de ceux-ci et l'abandon de tout frein lui fait découvrir le vrai amour.
Cible manquée, ce récit narcissique (l'auteur se met en scène et pioche dans ses propres romans) sonne faux et ne touche pas.
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