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Critique de Henri-l-oiseleur
Le premier volume de cette histoire déployait les charmes de la magie et de la religion celtes et marquait surtout par son étrangeté. Ce second volume sera plutôt à lire comme une Iliade, plus que les "héros", les seigneurs celtes qui entourent les rois, se livrent à leur activité naturelle, la guerre. Pourtant le récit de ces combats n'a rien de lassant, et comme dans le premier tome, le puissant exotisme et la magie de la langue continuent d'agir sur le lecteur de ce roman d'aventures.
