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Critique de LoupAlunettes
"Il était une fois un homme qui croyait que tout lui appartenait.
Un jour, il décida d'aller faire l'inventaire de ce qui était à lui...".
Quel genre de personnage est-ce, nous demandons-nous?
Un patron, un dieu?
Le mystère reste entier, chers jeunes lecteurs?
Le suspens est insoutenable car sachez-le chers lecteurs, de cette personne dépendrait votre destin, votre bon humeur et vos sourires (du moins, en serait-il persuadé).
Connaissez-vous ce genre de personnage autour de vous?
Peut-être que non car même si les parents ont une responsabilité sur la sécurité de votre personne, nous le savons, votre charmante personne vous appartient et (rassurez-vous) vous aurez encore pleine jouissance de vos jouets.
Mais alors qui est-il ce Fausto?
""tu es à moi", dit Fausto à la fleur".
De ce premier contact, nous sourions.
Qui peut-dire d'une fleur plantée qu'elle nous appartient?
Fausto la cueillera et la portera fièrement en boutonnière.
L'aventure est en définitive très drôle et Oliver Jeffers fait preuve de finesse dans son approche.
Parce qu'on le lit bien, toutes les choses désignées par Fausto semblent concéder sans résister de lui appartenir, jusqu'à preuve du contraire (par la suite).
C'est une vraie fable qui est pondue, sur la conquête de l'homme et sur la nature.
Cet homme-là ne se contente pas de profiter, il prend, pour posséder et sans doute sans donner en retour.
Fausto est une tempête au caractère orageux dès lors qu'on lui résiste, du haut de sa petite taille bedonnante vêtue d'un beau deux pièces.
Fausto a de grandes ambitions, il vient s'affirmer graduellement de la fleur à la montagne, de la montagne à l'océan où il pourra admirer son reflet.
La chute est d'un humour noir à mourir de rire, si l'on peut dire.
Il restera de cette histoire un peu de sagesse en refermant le livre et quelques rires.
Le destin de Fausto aura ceci d'utile en effet, on se sentira encore un peu plus grand qu'avant.
Un jour, il décida d'aller faire l'inventaire de ce qui était à lui...".
Quel genre de personnage est-ce, nous demandons-nous?
Un patron, un dieu?
Le mystère reste entier, chers jeunes lecteurs?
Le suspens est insoutenable car sachez-le chers lecteurs, de cette personne dépendrait votre destin, votre bon humeur et vos sourires (du moins, en serait-il persuadé).
Connaissez-vous ce genre de personnage autour de vous?
Peut-être que non car même si les parents ont une responsabilité sur la sécurité de votre personne, nous le savons, votre charmante personne vous appartient et (rassurez-vous) vous aurez encore pleine jouissance de vos jouets.
Mais alors qui est-il ce Fausto?
""tu es à moi", dit Fausto à la fleur".
De ce premier contact, nous sourions.
Qui peut-dire d'une fleur plantée qu'elle nous appartient?
Fausto la cueillera et la portera fièrement en boutonnière.
L'aventure est en définitive très drôle et Oliver Jeffers fait preuve de finesse dans son approche.
Parce qu'on le lit bien, toutes les choses désignées par Fausto semblent concéder sans résister de lui appartenir, jusqu'à preuve du contraire (par la suite).
C'est une vraie fable qui est pondue, sur la conquête de l'homme et sur la nature.
Cet homme-là ne se contente pas de profiter, il prend, pour posséder et sans doute sans donner en retour.
Fausto est une tempête au caractère orageux dès lors qu'on lui résiste, du haut de sa petite taille bedonnante vêtue d'un beau deux pièces.
Fausto a de grandes ambitions, il vient s'affirmer graduellement de la fleur à la montagne, de la montagne à l'océan où il pourra admirer son reflet.
La chute est d'un humour noir à mourir de rire, si l'on peut dire.
Il restera de cette histoire un peu de sagesse en refermant le livre et quelques rires.
Le destin de Fausto aura ceci d'utile en effet, on se sentira encore un peu plus grand qu'avant.
