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Critique de Clem_5
Quand j'ai vu qu'un livre sur l'Education aux Médias était au menu de la dernière Masse Critique je me suis dit que ça pourrait m'être utile pour le travail. Les éditions Presses de l'Enssib sont gage de qualité dans le domaine des sciences de l'information. Ce que je n'avais pas réalisé c'est que j'allais le recevoir au tout début des vacances, j'ai connu des lectures plus détendues pour l'été !
Cet ouvrage regroupe 18 articles écrits par des maîtres de conférence, professeurs d'université et chercheurs en SIC. Ils sont classés en 2 parties : Décoder les infomédiaires et Approches réflexives et créatives des médias. Les sujets sont très variés et montrent bien la pluralité de l'EMI et tous les angles d'attaque possibles avec nos élèves : désinformation, cybersexisme, web affectif, moteur de recherche, défiance des jeunes vis-à-vis de l'information journalistique, lutte des états, plateformes et journalistes contre les fausses informations, etc.
Je m'attendais toutefois à des pistes plus concrètes pour l'enseignement de l'EMI, mais dès l'introduction les auteurs annoncent que ce n'est pas le but de ce livre. Je regrette qu'il y ait eu peu de mentions des enseignants - professeurs documentalistes en ce qui me concerne - et des actions menées sur le terrain ou des programmes de l'Education nationale. Les articles analysent surtout les pratiques et habitudes des jeunes et dressent l'historique de l'évolution des techniques et technologies de l'information-communication.
Dans l'ensemble les articles étaient plutôt courts et faciles à lire pour quelqu'un ayant fait des études dans le domaine des SIC. Certains chapitres étaient un peu loin de mes préoccupations d'enseignante du secondaire (surveillance, logiciels libres, usage des technologies du numérique pour la participation citoyenne à la vie démocratique, genre et médias, la médiation informationnelle à travers les techniques et le design...). Ils étaient tout de même intéressants pour ma culture personnelle.
Je n'ai rien appris de nouveau et révolutionnaire pour ma pratique de l'Education aux Médias et à l'Information, mais ce livre a le mérite d'en donner une vision globale pouvant servir à l'établissement de progressions/programmes pourquoi pas. 3,5/5
Cet ouvrage regroupe 18 articles écrits par des maîtres de conférence, professeurs d'université et chercheurs en SIC. Ils sont classés en 2 parties : Décoder les infomédiaires et Approches réflexives et créatives des médias. Les sujets sont très variés et montrent bien la pluralité de l'EMI et tous les angles d'attaque possibles avec nos élèves : désinformation, cybersexisme, web affectif, moteur de recherche, défiance des jeunes vis-à-vis de l'information journalistique, lutte des états, plateformes et journalistes contre les fausses informations, etc.
Je m'attendais toutefois à des pistes plus concrètes pour l'enseignement de l'EMI, mais dès l'introduction les auteurs annoncent que ce n'est pas le but de ce livre. Je regrette qu'il y ait eu peu de mentions des enseignants - professeurs documentalistes en ce qui me concerne - et des actions menées sur le terrain ou des programmes de l'Education nationale. Les articles analysent surtout les pratiques et habitudes des jeunes et dressent l'historique de l'évolution des techniques et technologies de l'information-communication.
Dans l'ensemble les articles étaient plutôt courts et faciles à lire pour quelqu'un ayant fait des études dans le domaine des SIC. Certains chapitres étaient un peu loin de mes préoccupations d'enseignante du secondaire (surveillance, logiciels libres, usage des technologies du numérique pour la participation citoyenne à la vie démocratique, genre et médias, la médiation informationnelle à travers les techniques et le design...). Ils étaient tout de même intéressants pour ma culture personnelle.
Je n'ai rien appris de nouveau et révolutionnaire pour ma pratique de l'Education aux Médias et à l'Information, mais ce livre a le mérite d'en donner une vision globale pouvant servir à l'établissement de progressions/programmes pourquoi pas. 3,5/5
