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Critique de umezzu
J'aimais bien cette série à son tout début (... en 1996 tout de même). Les aventures de l'agent de la CIA Dwight Delano Tyler, dit Apha, étaient réalistes; le personnage froid et sans esbroufe. le contexte était bien rendu avec les tensions post guerre froide entre USA et Russie, qui se font plus larvées. Les groupes mafieux étaient partout.
La deuxième série, avec les tomes 12 et 13, a vu Youri Jigounov, qui en assurait (très bien) le dessin, se limiter au scénario. Si le dessin avec Chris Lamquet reste très correct, Jigounov, lui, a du abuser des (mauvais) téléfilms américains. Comme scénariste son imagination le conduit à reprendre les même personnages, les placer dans des situations invraisemblables et finir par unir (uniquement sexuellement je vous rassure) les ennemis de toujours. Ça défouraille, sans trop de logique. Alpha là dedans n'est même plus romantique (ce qu'il était au début), juste benêt.
Grosse déception que ce dernier tome en date, qu'il aura pourtant fallu attendre cinq ans (le temps de peaufiner le scénario ???...).
La deuxième série, avec les tomes 12 et 13, a vu Youri Jigounov, qui en assurait (très bien) le dessin, se limiter au scénario. Si le dessin avec Chris Lamquet reste très correct, Jigounov, lui, a du abuser des (mauvais) téléfilms américains. Comme scénariste son imagination le conduit à reprendre les même personnages, les placer dans des situations invraisemblables et finir par unir (uniquement sexuellement je vous rassure) les ennemis de toujours. Ça défouraille, sans trop de logique. Alpha là dedans n'est même plus romantique (ce qu'il était au début), juste benêt.
Grosse déception que ce dernier tome en date, qu'il aura pourtant fallu attendre cinq ans (le temps de peaufiner le scénario ???...).
