Cléopâtre Captive, ou le lectorat captif ?
L'une des rares oeuvres au programme, pour l'année universitaire, avec laquelle je n'ai pas accroché. Si le choeur (ici les femmes Alexandrines) permet ce lien entre drame individuel et sentimental, et drame collectif et politique, celui-ci ne suffit pas pour justement me « captiver » ; ou bien si… Une captivité par l'attente (non pas dans la tension, mais dans l'ennui) d'un dénouement déjà exprimé au début de la pièce. L'étude approfondie des personnages, dans le cadre des cours, n'était pas dénuée d'intérêt ; mais la lecture seule d'une oeuvre d'à peine 80 pages était déjà ressentie comme trop longue pour prétendre l'avoir un tant soit peu appréciée.
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