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Critique de okka


Cette nuit, à Barro-City, pendant son sommeil, le faiseur de mort, alias le bourreau est mort par un serpent corail.
Le Bouncer est tiré au sort et il se doit de le remplacer. Ainsi que de prendre ce lourd fardeau qui va avec ce métier. Cet acte d'ôter la vie, même si en face ce condamné est coupable des pires atrocités… il n'y a pas de gloire ni de gestes « juste » à lui ôter la vie de cette façon. C'est plus du dégoût que de la haine par ce combat à mort déloyale, l'un armé du bouton qui ouvrira la trappe, et l'autre avec les mains liées, vulnérable comme au premier jour.

Mais le Bouncer doit faire face à un terrible chacal du nom de Clark Cooper qui achète tout sur son passage, tel un joueur de Monopoly. Ce propriétaire, ce « Gros Porc » avide d'argent et de pouvoir de tout contrôler, compte acheter l'Infierno, par tous les moyens possibles, et il est plus dangereux qu'une vipère.

Puis tout va très vite… Joie de coeur de vouloir épouser Noémie, puis… peine de coeur car elle retrouve (avec un grand A) son Amour d'enfance. Par la suite il en apprend davantage sur le passé de Noémie,
Ce qui n'est pas dit mais que les coeurs de ces esclaves noirs entendent c'est : ‘ Vous nous avez libérés de cette misère, pour nous envoyer à une autre misère bien pire, … Sous prétexte de la liberté, et de la paix, nous devenons de la chair à canons. ‘
Ce qui achève le Bouncer, par tant d'émotions fortes, plus blessante que des balles de revolver.


La bande dessinée se finit par un coup de théâtre, dont les émotions sont d'une tristesse, qu'on ressent silencieusement en fermant la bande dessinée.

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