AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de BazaR


Bon, je suis clairement en train de devenir blasé.

Dans le troisième tome de l'intégrale Green Lantern selon Geoff Johns, on nous refourgue encore une fois les origines du super-héros en ajoutant cependant des éléments qui aident à la compréhension de la suite.

Puis c'est le déploiement de l'arc-en-ciel des anneaux. le vert on connaît, tirant sa force de la volonté du porteur ; le jaune qui s'appuie sur la capacité à générer la peur a été balayé dans l'intégrale 2 ; le violet porte l'amour un peu vache - on l'a vu aussi porté par l'ex d'Hal Jordan notre Green Lantern favori. Arrive aujourd'hui le rouge, qui s'appuie sur la rage et dont le maître Atrocitus est le survivant d'un génocide devenu terroriste. Puis le bleu, très zen, qui porte l'espoir. Enfin l'orange symbolisant l'avarice.
Tout ça se bat et c'est chaque couleur pour soi avec des alliances (le vert et le bleu par exemple). Derrière toutes ces forces qui essaient de nous convaincre de la force de leur particularisme, on retrouve des gentils et des méchants qui se tapent dessus. Je n'arrive pas à me persuader de leur intérêt, de les voir comme des forces fondamentales de l'univers. C'est encore une forme d'anthropomorphisme qui veut expliquer le cosmos à partir des émotions ressenties seulement par l'humain (ici tous les extraterrestres agissent et ressentent comme les humains ; ils sont seulement nés sur d'autres planètes et ont un physique différent, à part ça, idem).

J'avoue cependant que l'orange avarice est un sacré coco qui vaut le détour. Les histoires où cette couleur intervient ont une bonne saveur.

Cela va nous mener gentiment vers la série Blackest Night que j'ai déjà lu et qui constituera l'essentiel de l'intégrale 4. Est-ce que je plongerai quand même ?
Possible… je suis faible.
Commenter  J’apprécie          275



Ont apprécié cette critique (25)voir plus




{* *}