Ce livre laisse un sentiment étrange : l'impression que c'est dans la douleur et les épreuves que l'on peut apprendre à aimer la vie !
Nietzsche ne dit-il que "tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" ?!
Ecrit sous forme de dialogue entre Socrate et l'auteur, l'on est très vite interpellé par la profondeur des sentiments (l'amitié, la sincérité, l'entraide, ...) et la justesse du ton.
J'ai particulièrement aimé le passage qui parle de la "distance" souvent trop grande qu'instaurent les éducateurs, médecins, infirmiers et autres paramédicaux dans leur relation "patient/thérapeute" : je pense qu'effectivement un peu plus d'empathie ne nuirait à personne !!!
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