Quelques éléments intéressants sur la vie quotidienne sous l'Occupation, des pages amusantes sur Élise… mais on reste vraiment loin derrière les journaux de Garçon pour les anti-Allemands ou, pour les attentistes,
Galtier-Boissière et, côté collaborationniste,
Drieu La Rochelle. En outre j'ai du mal à croire que ce journal, où rien de trop compromettant n'est écrit (pas d'antisémitisme virulent, pas de propos hargneux contre les résistants…), soit exactement celui que Jouhandeau ait tenu au moment des événements, mais j'avoue que je ne connais guère le parcours éditorial de cette publication.
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