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Critique de kalimera


Mauvaise digestion...C'est rare, j'ai une santé de fer ou presque en tenant compte de mon grand âge, mais là...
Là, vraiment non.
Faut dire que je me suis laissée piéger par la quatrième de couverture, comme une bleue, une auvergnate un peu trop chauvine, c'est bien fait pour moi .

Cela commence dans un château délabré, hanté par des voix et des
courants d'air,à la sortie d'un bourg noir, prés de Clermont-ferrand.

l'avait dit l'autre là, le copain à Sarko, les auvergnats et les arabes c'est pareil, on est pas bien malins c'est connu...
Donc, j'ai commencé, et j'ai pas pu.
Page 10, j'ai ronchonné sur le style délicieusement ampoulé,
page 12 sur la longueur extraordinaire de chacune des phrases, complètement incompréhensibles à une auvergnate de souche et fière de l'être.
Page 15, j'ai pourtant lu:

Les longues banlieues de Clermont traversées de bout en bout, à grand
bruit et grande vitesse,ils arrivèrent à Lempdes, stoppèrent à la
sortie du bourg, devant une maison...

C'est chez moi, un peu plus ces cons s'arrêtaient devant ma maison...
Page 25, j'ai claqué le bouquin, déçue et légèrement incommodée par l'idée vraiment très bête qu'il me manque peut-être quelques neurones pour bien appréhender un tel chef-d'oeuvre.
Et pis d'abord, y a pas de bourgs noirs en auvergne, ils sont couleur lave, les banlieues de clermont sont fleuries et vertes, sans longueurs excessives, les châteaux rutilants et fiers de leurs courants d'air.
non mais.
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