Lu incidemment Naull'eau.
J'ai dû lire une chronique de Naulleau à cause d'un ivrogne qui sévissait sur babelio ; chronique consacrée à
Cher connard de
Virginie Despentes publiée dans Marianne tout récemment.
Naulleau descend en flammes le dernier livre de Virginie qui fait polémique en cette rentrée littéraire plutôt fade : "ce n'est pas de la littérature, ce sont des impostures", et patati et patata.. sur un ton désagréable de procureur..
Bon, moi Naulleau, il ne me serait jamais venu à l'idée de lire du Naulleau, il m'était déjà pénible de l'entendre dans les médias, je réservais donc une oreille distraite à ses badineries, dirais-je avec civilité.
J'émets un avis à la lecture de Naulleau encore pire qu'à l'entendre : écriture intello médiocre persillée de glaires bien éloignée de la littérature. Visiblement pas à la hauteur du talent de Virginie qu'il a prise pour cible. Intellectuellement affligeant !
Commenter  J’apprécie         72