>
Critique de umezzu
A Berlin en 1964, deux amis, vivant à l'Ouest, imaginent un plan pour permettre à la soeur de l'un d'entre eux de les rejoindre. Pour se faire, ils vont avec l'aide d'autres volontaires percer un tunnel depuis une ancienne boulangerie désaffectée jusque sous le fameux mur de Berlin.
Réussir un tel exploit n'est pas simple et ils font devoir faire face aux infiltrations d'eau, aux problèmes d'orientation et évidemment au régime policier de l'Est.
La quatrième de couverture prétend que cette histoire est inspirée d'une histoire vraie. Ce qui est sûr c'est qu'on a plus entendu parler de tunnels partant de l'Est que de tunnel construits dans l'autre sens. Quant au nombre 57 accolé au tunnel du titre, il faut aller au bout de l'album pour savoir à quoi il correspond.
Le dessin de Nicolas Brachet se veut limite esquisse ou crayonné et les choix de colorisation rendent cette histoire un peu trop lisse, un peu trop pastel à mon goût. La BD se limite du coup juste à être le support d'une anecdote de la guerre froide.
Réussir un tel exploit n'est pas simple et ils font devoir faire face aux infiltrations d'eau, aux problèmes d'orientation et évidemment au régime policier de l'Est.
La quatrième de couverture prétend que cette histoire est inspirée d'une histoire vraie. Ce qui est sûr c'est qu'on a plus entendu parler de tunnels partant de l'Est que de tunnel construits dans l'autre sens. Quant au nombre 57 accolé au tunnel du titre, il faut aller au bout de l'album pour savoir à quoi il correspond.
Le dessin de Nicolas Brachet se veut limite esquisse ou crayonné et les choix de colorisation rendent cette histoire un peu trop lisse, un peu trop pastel à mon goût. La BD se limite du coup juste à être le support d'une anecdote de la guerre froide.
