Yusuf Kadel : incontestablement un ton, une façon très personnelle de ciseler le vers, la ligne, les blocs de texte. Il y a là un talent indéniable, un souffle, une attention à la langue toute particulière. Jamais de métaphores « poétisantes », jamais de facilités et, le plus important, une véritable nécessité formelle ; c'est réussi, surtout pour un premier recueil.
Jean-Michel Espitallier Commenter  J’apprécie         10