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Critique de Cricri08
Chaleur record cette fois, avec un maximum de 43.2°C ! Oui oui ce roman se passe bien en Suède !
Des incendies ravagent la forêt et la ville semble morte, engourdie par l'oppressante chaleur.
Jan et Tove sont partis à Bali et Malin Fors se retrouve seule dans la fournaise.
Déjà angoissée par la séparation avec sa fille, les événements de l'été ne vont faire accroître ses inquiétudes : Josefin Davidsson, 15 ans, est retrouvée nue, violée, mais vivante dans un parc de la ville puis le corps de Theresa Eckeved, 14 ans, est découvert près d'un lac, elle aussi violée.
Outre l'enquête de police, l'auteur glisse quelques infos sur la société suédoise : l'accueil des immigrants (comme Slavenca arrivée de Bosnie), le racisme de certains (l'attitude ultra violente de l'un des policiers Waldemar) ou encore les préjugés bien présents contre les homosexuelles.
Cela rend ce roman très actuel et très vivant. J'ajoute que je m'attache de plus en plus au personnage de Malin, moins perdue en cette fin d'été.
J'apprécie toujours autant la « prise de parole » des défunts : une sorte de communication s'établit entre Malin, le lecteur et les victimes qui demandent justice afin de pouvoir trouver le repos éternel.
Des incendies ravagent la forêt et la ville semble morte, engourdie par l'oppressante chaleur.
Jan et Tove sont partis à Bali et Malin Fors se retrouve seule dans la fournaise.
Déjà angoissée par la séparation avec sa fille, les événements de l'été ne vont faire accroître ses inquiétudes : Josefin Davidsson, 15 ans, est retrouvée nue, violée, mais vivante dans un parc de la ville puis le corps de Theresa Eckeved, 14 ans, est découvert près d'un lac, elle aussi violée.
Outre l'enquête de police, l'auteur glisse quelques infos sur la société suédoise : l'accueil des immigrants (comme Slavenca arrivée de Bosnie), le racisme de certains (l'attitude ultra violente de l'un des policiers Waldemar) ou encore les préjugés bien présents contre les homosexuelles.
Cela rend ce roman très actuel et très vivant. J'ajoute que je m'attache de plus en plus au personnage de Malin, moins perdue en cette fin d'été.
J'apprécie toujours autant la « prise de parole » des défunts : une sorte de communication s'établit entre Malin, le lecteur et les victimes qui demandent justice afin de pouvoir trouver le repos éternel.
