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Critique de iris29
Ce roman fait partie d'une série dont le vrai personnage principal est un immeuble parisien, il s'agit du 2° tome, mettant en scène , Charlotte, épouse et mère de deux enfants.
Comme à chaque épisode, l'auteure met l'accent sur l'un ou l'autre des occupants de cet immeuble, cela ne m'a pas dérangée de commencer par ce 2° tome. Je n'ai pas eu l'impression que je débarquais au milieu de quelque chose , que je ne maitrisais pas toutes les infos.
A priori, ce roman avait tout pour me plaire, j'aimais bien le théme. Un microcosme de gens obligés de s'entendre, certains s'entendant mieux que d'autres. La proximité accélérant les amitiés, l'intimité de part les menus services qu'on demande à ses voisins, comme confier ses clefs lorsqu'on part en vacances.
Mais l'auteure n'est pas assez exigeante, profonde...
Dés le début, je n'ai pas aimé le personnage principal. Déjà je n'ai pas saisi comment , elle pouvait être à la fois photographe , décoratrice, ex-agent immobilier , organisatrice de mariage... le rapport entre tous les métiers ? Les compétences que ça demande ? Les diplômes exigés par l'employeur ? Pfff : l'auteure s'en tamponne, dés le début, ça m'a agacée. J'aime quand l'histoire est un minimum crédible...
Passons, l'auteure fait passer un message : Charlotte est dégourdie !
Oui, mais après elle ne l'est plus, alors faudrait savoir ! Les caractères ne peuvent pas changer du tout au tout.
Ce personnage renonçant à sa précarité de free-lance, signe pour un CDD d'un an, comme organisatrice de mariage, et dés le début , cela se passe mal avec sa collégue de travail, cette dernière ne supportant pas la concurrence. Comment Charlotte , si débrouillarde , fait pour ne pas gérer mieux, cette situation ? Elle aurait dû recueillir des preuves de harcélement, au lieu d'essayer de faire amie-amie avec cette harceleuse psychopate, au lieu de l'inviter chez elle. Elle aurait dû la mettre au pied du mur, la confronter devant sa boss, au lieu de subir . J'ai trouvé Charlotte mesquine dans ses réflexions, immature, gamine, et exécrable, ( alors que ce personnage est sensé être ultra sympathique...).
Elle "aime son mari d'amour", mais succombe au premier regard de son voisin. Elle fait amie-amie avec une nouvelle voisine , mais joue un jeu pervers avec elle, en rapport aux confidences reçues sur un certain béguin...
C'est un roman léger, dont on se prend à penser à ce qu'en aurait fait une autre auteure plus profonde (je pense à Jane Elizabeth Howard) ou plus amusante .
On a quand même , un personnage qui subit du harcélement au travail, et je n'ai rien ressenti, ni suspens, ni empathie, rien.
Quel est le message que veut faire passer l'auteur ?
Même , dans le genre littéraire feel good, il y a des messages (tolérance, sens de la vie...), là on hésite entre deux styles, on patauge. C'est léger, mais pas amusant, psychologique sans être assez profond. le style est plat.
Comme le personnage principal est jeune, en couple, avec enfants, parisienne, urbaine, ça parlera à certaines lectrices ( la fameuse ménagère de moins de cinquante ans ) , qui pouront reconnaitre de petits bouts de leurs vies, et s'identifier. Moi, elle m'a agacée, la Charlotte.
Ça se lit, mais il y a mieux. le premier tome m'attend.
Comme à chaque épisode, l'auteure met l'accent sur l'un ou l'autre des occupants de cet immeuble, cela ne m'a pas dérangée de commencer par ce 2° tome. Je n'ai pas eu l'impression que je débarquais au milieu de quelque chose , que je ne maitrisais pas toutes les infos.
A priori, ce roman avait tout pour me plaire, j'aimais bien le théme. Un microcosme de gens obligés de s'entendre, certains s'entendant mieux que d'autres. La proximité accélérant les amitiés, l'intimité de part les menus services qu'on demande à ses voisins, comme confier ses clefs lorsqu'on part en vacances.
Mais l'auteure n'est pas assez exigeante, profonde...
Dés le début, je n'ai pas aimé le personnage principal. Déjà je n'ai pas saisi comment , elle pouvait être à la fois photographe , décoratrice, ex-agent immobilier , organisatrice de mariage... le rapport entre tous les métiers ? Les compétences que ça demande ? Les diplômes exigés par l'employeur ? Pfff : l'auteure s'en tamponne, dés le début, ça m'a agacée. J'aime quand l'histoire est un minimum crédible...
Passons, l'auteure fait passer un message : Charlotte est dégourdie !
Oui, mais après elle ne l'est plus, alors faudrait savoir ! Les caractères ne peuvent pas changer du tout au tout.
Ce personnage renonçant à sa précarité de free-lance, signe pour un CDD d'un an, comme organisatrice de mariage, et dés le début , cela se passe mal avec sa collégue de travail, cette dernière ne supportant pas la concurrence. Comment Charlotte , si débrouillarde , fait pour ne pas gérer mieux, cette situation ? Elle aurait dû recueillir des preuves de harcélement, au lieu d'essayer de faire amie-amie avec cette harceleuse psychopate, au lieu de l'inviter chez elle. Elle aurait dû la mettre au pied du mur, la confronter devant sa boss, au lieu de subir . J'ai trouvé Charlotte mesquine dans ses réflexions, immature, gamine, et exécrable, ( alors que ce personnage est sensé être ultra sympathique...).
Elle "aime son mari d'amour", mais succombe au premier regard de son voisin. Elle fait amie-amie avec une nouvelle voisine , mais joue un jeu pervers avec elle, en rapport aux confidences reçues sur un certain béguin...
C'est un roman léger, dont on se prend à penser à ce qu'en aurait fait une autre auteure plus profonde (je pense à Jane Elizabeth Howard) ou plus amusante .
On a quand même , un personnage qui subit du harcélement au travail, et je n'ai rien ressenti, ni suspens, ni empathie, rien.
Quel est le message que veut faire passer l'auteur ?
Même , dans le genre littéraire feel good, il y a des messages (tolérance, sens de la vie...), là on hésite entre deux styles, on patauge. C'est léger, mais pas amusant, psychologique sans être assez profond. le style est plat.
Comme le personnage principal est jeune, en couple, avec enfants, parisienne, urbaine, ça parlera à certaines lectrices ( la fameuse ménagère de moins de cinquante ans ) , qui pouront reconnaitre de petits bouts de leurs vies, et s'identifier. Moi, elle m'a agacée, la Charlotte.
Ça se lit, mais il y a mieux. le premier tome m'attend.
