En Grèce, quand un nouveau livre paraît, on prononce ce voeu :
" Qu'il tienne bien la mer ! "
(page 155).
Le véritable immigré est un égoïste, un narcissique invétéré. Il pense que le pays où il est né n'est pas digne de lui. Il n'a pas mérité une telle pauvreté, une telle absence d'avenir, une telle violence, une telle corruption, tant de saletés, tant d'hypocrisie et si peu d'amour.
"le rire des hommes des frontières est le meilleur des masques. en riant, c'est comme s'ils disaient à la mort : "ne compte pas sur nous pour être tes clients. Tu vois bien que si nous rions, c'est que que nous n'avons rien à faire de toi"