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Critique de florencem
Avant toute chose, j'aimerais d'abord remercier Babelio et les éditions Ki-oon pour cette très jolie découverte liée au tout dernier masse critique. Je ne sais pas si c'est de la chance ou pas, mais depuis que je participe aux masses critiques, je découvre toujours des oeuvres surprenantes (il n'y a eu qu'une exception malheureuse à ce jour !), et Gisèle Alain fait aussi partie de cette catégorie. Pourtant, aux premiers abords, je n'attendais pas vraiment quelque chose de spécial de ce manga. L'histoire avait l'air sympathique et décalée mais je ne pensais pas forcément poursuivre les aventures de Gisèle... Et, je l'avoue... j'ai changé d'avis !
Commençons déjà par vous parler du graphisme. Je sais que d'habitude, j'en parle à la fin de mes critiques, mais je vais faire une exception. Tout d'abord à cause de la couverture. C'est ce qui m'avait charmé lors de la première sélection au masse critique, et lorsque j'ai reçu le manga, j'ai été agréablement surprise par la qualité de la jaquette. La plupart des manga ont des jaquettes en papier brillant, lisse avec un côté "plastifié". Ce n'est pas vilain du tout, mais quand vous avez dans les mains un manga dont la couverture est matte et avec un grain de papier légèrement granuleux, cela fait tout de suite la différence. L'oeuvre en elle-même parait tout de suite, plus spéciale. C'est un petit détail, oui, mais quand on dévore et respecte les livres comme moi, c'est important, on a tout de suite une autre approche de l'oeuvre, d'autant plus que l'histoire de Gisèle se déroule au début du XXème siècle et j'ai trouvé que cela donnait un peu plus d'authenticité. Et puis, on en vient à découvrir les planches. Magnifiques, très stylisées, pleines de détails, avec beaucoup d'utilisation des ombres, des textures. Et encore une fois l'oeuvre parait plus riche grâce à cet afflux de dessins. du coup, je me suis lancée.
Et j'ai découvert Gisèle. Un sacré caractère, des idées bien arrêtées, une naïveté qui contraste avec son côté très adulte, une simplicité aussi alors qu'elle vient d'un milieu aisé. Cet un personnage complexe, drôle, attachant, manipulatrice à ses heures, bonne enfant, avec l'envie d'apprendre et de se dépasser. Et il n'y a pas que le lecteur qui est charmé, les autres personnages qu'elle rencontre le sont tout autant. Et comment les en blâmer ? Gisèle est tellement imprévisible qu'on ne s'attend jamais à ce qu'elle va faire, sans compter son ignorance sur le monde du dehors qui la pousse souvent dans des situations assez rocambolesques. Et malgré la naïveté des histoires qui se succèdent, j'ai beaucoup aimé la voir évoluer, se démener et se voir entourer petit à petit de personnes qu'elle a su charmer. Mais je me demande surtout ce qui l'a conduite à devenir logeuse, et que cache sa famille... Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que les tomes suivants vont perdre peu à peu de cette naïveté sans pour autant perdre de leur qualité. Et j'ai envie d'en savoir plus sur Gisèle, Eric, Emily, Lucas et les autres. C'est donc avec plaisir que je poursuivrais l'aventure, car j'ai envie de lire d'avantage d'histoires qui me laisseront le sourire aux lèvres, et c'est si rare de nos jours que je ne vais pas m'en priver.
Commençons déjà par vous parler du graphisme. Je sais que d'habitude, j'en parle à la fin de mes critiques, mais je vais faire une exception. Tout d'abord à cause de la couverture. C'est ce qui m'avait charmé lors de la première sélection au masse critique, et lorsque j'ai reçu le manga, j'ai été agréablement surprise par la qualité de la jaquette. La plupart des manga ont des jaquettes en papier brillant, lisse avec un côté "plastifié". Ce n'est pas vilain du tout, mais quand vous avez dans les mains un manga dont la couverture est matte et avec un grain de papier légèrement granuleux, cela fait tout de suite la différence. L'oeuvre en elle-même parait tout de suite, plus spéciale. C'est un petit détail, oui, mais quand on dévore et respecte les livres comme moi, c'est important, on a tout de suite une autre approche de l'oeuvre, d'autant plus que l'histoire de Gisèle se déroule au début du XXème siècle et j'ai trouvé que cela donnait un peu plus d'authenticité. Et puis, on en vient à découvrir les planches. Magnifiques, très stylisées, pleines de détails, avec beaucoup d'utilisation des ombres, des textures. Et encore une fois l'oeuvre parait plus riche grâce à cet afflux de dessins. du coup, je me suis lancée.
Et j'ai découvert Gisèle. Un sacré caractère, des idées bien arrêtées, une naïveté qui contraste avec son côté très adulte, une simplicité aussi alors qu'elle vient d'un milieu aisé. Cet un personnage complexe, drôle, attachant, manipulatrice à ses heures, bonne enfant, avec l'envie d'apprendre et de se dépasser. Et il n'y a pas que le lecteur qui est charmé, les autres personnages qu'elle rencontre le sont tout autant. Et comment les en blâmer ? Gisèle est tellement imprévisible qu'on ne s'attend jamais à ce qu'elle va faire, sans compter son ignorance sur le monde du dehors qui la pousse souvent dans des situations assez rocambolesques. Et malgré la naïveté des histoires qui se succèdent, j'ai beaucoup aimé la voir évoluer, se démener et se voir entourer petit à petit de personnes qu'elle a su charmer. Mais je me demande surtout ce qui l'a conduite à devenir logeuse, et que cache sa famille... Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que les tomes suivants vont perdre peu à peu de cette naïveté sans pour autant perdre de leur qualité. Et j'ai envie d'en savoir plus sur Gisèle, Eric, Emily, Lucas et les autres. C'est donc avec plaisir que je poursuivrais l'aventure, car j'ai envie de lire d'avantage d'histoires qui me laisseront le sourire aux lèvres, et c'est si rare de nos jours que je ne vais pas m'en priver.
