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Critique de florencem
Lire un tome de Gisèle Alain est toujours un plaisir. C'est le genre de série qui donne le sourire et qui a sa petite dose d'émotions et de bons sentiments. C'est un moment de lecture sereine, agréable et qui met de bonne humeur. Et de temps en temps, cela fait un bien fou. Je ne dis pas non plus que tout est rose, on rencontre parfois des personnages détestables, mais dans l'ensemble, l'auteur a choisi de nous redonner foi en l'être humain, du moins, c'est comme cela que je le ressens.
Du coup, le passage avec Eric est très déroutant. Voire même très malsain. Je ne sais pas mais toute cette histoire de nouveau travail ne me plait pas du tout. Et pourtant, encore une fois on ne voit Eric que quelques pages. J'espère sincèrement que ses problèmes seront mis plus en avant dans un prochain tome et que Gisèle pourra intervenir, ou encore mieux qu'Eric décide de se bouger et de se sortir de ce guêpier !
La plus grande partie du tome est consacré à la venue d'un cirque en ville. Gisèle et Guy y sont engagés comme femme et homme à tout faire ce qui nous permet de faire pas mal de nouvelle rencontre. J'apprécie beaucoup plus Guy, et c'est amusant de voir qu'en fin de compte ce n'est pas du tout un mauvais bougre, loin de là. Bon, il faut aussi dire que Gisèle a plus ou moins l'habitude de révéler le meilleur chez les gens qu'elle croise. Elle apprend aussi beaucoup à chaque fois et on la voit grandir avec plaisir. Surtout que cette fois-ci les choses ne sont pas très faciles. Notre jeune héroïne doit faire le tampon entre la directrice du cirque et sa jeune fille. La première ne désire pas ce genre de vie sans attache pour ses enfants alors qu'eux ne rêvent que de faire partie de cette grande famille itinérante. Gisèle prend le partie de l'enfant, ce qui n'est pas une surprise. Pourtant, la volonté de Paula, la maman, est tout à fait compréhensible. Elle souhaite ce qu'elle pense être le meilleur pour ses enfants. Difficile de "choisir" son camp. Et pourtant, la mangaka s'en sort très bien, sans rendre l'histoire trop naïve. Les enfants doivent aussi pouvoir faire leurs propres choix et même si cela ne se finit pas bien. Une jolie morale avec plein d'émotions.
J'ai aussi beaucoup apprécié les petites histoires très courtes qui ponctuaient l'intrigue principale. Cela nous permet de voir les pensionnaires de Gisèle ainsi que certains de ses amis. C'était une très bonne idée, surtout qu'elles ont toutes le cirque comme point central.
La fin du tome ne me laisse pas trop espérer de bons moments pour la suite. Mais j'espère en tout cas, qu'il y aura du changement !
Du coup, le passage avec Eric est très déroutant. Voire même très malsain. Je ne sais pas mais toute cette histoire de nouveau travail ne me plait pas du tout. Et pourtant, encore une fois on ne voit Eric que quelques pages. J'espère sincèrement que ses problèmes seront mis plus en avant dans un prochain tome et que Gisèle pourra intervenir, ou encore mieux qu'Eric décide de se bouger et de se sortir de ce guêpier !
La plus grande partie du tome est consacré à la venue d'un cirque en ville. Gisèle et Guy y sont engagés comme femme et homme à tout faire ce qui nous permet de faire pas mal de nouvelle rencontre. J'apprécie beaucoup plus Guy, et c'est amusant de voir qu'en fin de compte ce n'est pas du tout un mauvais bougre, loin de là. Bon, il faut aussi dire que Gisèle a plus ou moins l'habitude de révéler le meilleur chez les gens qu'elle croise. Elle apprend aussi beaucoup à chaque fois et on la voit grandir avec plaisir. Surtout que cette fois-ci les choses ne sont pas très faciles. Notre jeune héroïne doit faire le tampon entre la directrice du cirque et sa jeune fille. La première ne désire pas ce genre de vie sans attache pour ses enfants alors qu'eux ne rêvent que de faire partie de cette grande famille itinérante. Gisèle prend le partie de l'enfant, ce qui n'est pas une surprise. Pourtant, la volonté de Paula, la maman, est tout à fait compréhensible. Elle souhaite ce qu'elle pense être le meilleur pour ses enfants. Difficile de "choisir" son camp. Et pourtant, la mangaka s'en sort très bien, sans rendre l'histoire trop naïve. Les enfants doivent aussi pouvoir faire leurs propres choix et même si cela ne se finit pas bien. Une jolie morale avec plein d'émotions.
J'ai aussi beaucoup apprécié les petites histoires très courtes qui ponctuaient l'intrigue principale. Cela nous permet de voir les pensionnaires de Gisèle ainsi que certains de ses amis. C'était une très bonne idée, surtout qu'elles ont toutes le cirque comme point central.
La fin du tome ne me laisse pas trop espérer de bons moments pour la suite. Mais j'espère en tout cas, qu'il y aura du changement !
