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Critique de Iskiwiwi


Alors qu'elle n'est encore qu'une enfant, la jeune Shion assiste, impuissante, au meurtre de ses parents ! Une scène d'horreur qui la marque au point qu'elle devient muette et ne communique plus qu'à l'aide de mots écrits sur un carnet. Initiée au shogi par son père adoptif, la jeune fille montre, au fil des années, des dispositions tout à fait remarquables, et remporte tous les matchs qu'elle dispute. Une passion sincère et, surtout, une façon d'essayer d'élucider le mystère de la mort de ses parents. Sur les lieux du crime, en effet, seule une pièce de shogi, le Roi, a été retrouvée ! Confusément, Shion sent que c'est en évoluant dans l'univers professionnel du shogi qu'elle pourrait bien, un jour, découvrir la vérité…
Un avis très mitigé... L'histoire est pas mal et le manga se lit bien mais ça s'arrête là. Je pensais que l'histoire de meurtre des parents de Shion serait beaucoup mieux exploitée et nous mettrait l'eau à la bouche ; résultat, je n'ai pas envie de me jeter sur le second tome. L'abondance de personnages qui semblent mystérieux mais sans qu'on sache vraiment pourquoi peut lasser le lecteur. Seul le personnage d'Ayumi m'a intriguée et je me demande comment il va évoluer ainsi que sa relation avec Shion. Enfin, j'ai été surprise et gênée d'apprendre que la ligue de shôgi comprenait une ligue féminine et une autre masculine ; pourquoi faire cette distinction sur un jeu de réflexion ? Malgré mes recherches, ma question reste sans réponse.
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