Je poursuis ma découverte des romans de
Gabriel Katz avec Aeternia.
Ce roman-ci était surtout l'occasion de retrouver Desmeon que j'avais beaucoup aimé dans La part des ombres. S'il ne fait pas figure de héros ici, il a cependant un beau rôle à jouer, auprès de Leth Marek, le champion d'arènes. Il asticote, picote, agace le quarantenaire désabusé et mû par la vengeance. J'avoue que si ses réparties m'ont beaucoup amusée dans La part des ombres, je les ai trouvées cette fois-ci moins enlevées et plutôt inégales.
Tout comme le roman qui me laisse un sentiment mitigé. L'intrigue est plaisante même s'il s'agit d'une énième histoire de vengeance, avec, en toile de fond, un conflit religieux qui, ne m'a pas vraiment captivée.
Aux trois-quarts du livre, passablement ennuyée, je me suis même demandée si j'allais poursuivre avec le deuxième tome mais c'était sans compter la malice de
Gabriel Katz. Il parvient toujours à remotiver ses lecteurs par des cliffhangers insoutenables !
Alors, oui, le soudain retournement de situation me donne vraiment envie de lire la suite !
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