Je n'ai que des souvenirs flous des années 1985, je me rappelle pourtant bien du rappel quotidien des otages aux infos.
Et là j'ai découvert l'envers du décor. L'histoire est menée de telle façon que je découvre les différentes facettes des problèmes d'une famille d'otage. L'impuissance, sauf quand on s'appelle Joëlle Kaufmann. L'angoisse, le devoir de continuer à vivre.
Un peu de honte me poursuit d'avoir accordé aussi peu d'attention aux médias, cela me paraît injuste, et en même temps qu'aurais-je pu faire ?
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