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Critique de biribi


Remonter le temps : on peut le faire dans ce café, mais juste le temps que le café qui vous a été servi soit refroidi.
C'est la démarche que fait Gôtarô. Haruka, sa fille adoptée ignore qu'il n'est pas son père biologique. Il a tout fait pour qu'elle soit heureuse dans la vie. Son père est mort, il était un ami de Gôtarô qui s'est promis de l'élever comme sa fille. Elle va se marier et Gôtarô veut lui dire enfin la vérité.
Dans ce café entrent et sortent différentes personnes. Reste cependant sur sa chaise, à lire, une femme en robe blanche. C'est sur sa chaise que celui qui veut remonter le temps doit s'asseoir. Pour cela il faut attendre que la dame blanche se lève pour aller aux toilettes.
Ce n'est certes pas un roman lourd ni pesant, plutôt légèrement décalé, qui nous emporte hors de la réalité.
Nombreux personnages dont il n'est pas aisé de retenir les noms japonais et qui est qui.
Compliqué surtout d'essayer de suivre les élucubrations farfelues du retour dans le passé. Je suis restée complètement en dehors de l'histoire. C'est totalement farfelu, décalé, inintéressant, même pas drôle. On annonçait de l'humour mais il est bien caché. Je ne l'ai pas découvert. Pour ma part, une perte de temps absolue.
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