En quelques mois, c'est le deuxième roman japonais feel-good de voyage dans le temps que je lis (l'autre étant Les miracles du bazar Namiya). J'en viens presque à me dire qu'il doit s'agir d'un sous-genre particulièrement niché!
La comparaison s'arrête là, car
Tant que le café est encore chaud n'a pas la même ambition ni la même structure narrative élaborée que Les miracles du bazar Namiya. L'ensemble se lit toutefois avec plaisir (comme un café bien chaud). Je me laisserai volontiers embarquer par le second tome d'ici quelques mois.
Je remarque aussi que la conception japonaise du "feel-good" semble légèrement différente de son pendant occidental. Cela m'a plu à titre personnel, car j'ai trouvé que cela atténue la mièvrerie inhérente au genre, auquel j'ai du mal à adhérer en temps normal.
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