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Critique de orbe
Les deux premiers tomes de ce manga racontent l'incroyable aventure de Kirito et Asuna, piégés dans le monde virtuel d'Ancraid, mais bien décidés à se protéger et à se retrouver ensuite dans la vie réelle.
Le dessin réalisé par Tamako Makamura est conforme à l'esthétique attendue : grands yeux, nombreuses mise en avant des visages des héros et importance des scènes de combat.
L'histoire est fidèle au roman. On retrouve à la fois l'intrigue principale : les deux jeunes héros arriveront-ils à sortir d'Aincrad ? et les péripéties annexes qui permettent de mieux cerner leur passé et leur personnalité.
L'équilibre entre le désir de terminer le jeu afin d'être libéré de toute contrainte est ici aussi pondérée par la question de l'adaptabilité des gamers à se satisfaire de la vie ordinaire.
Le découpage est intéressant puisque ce premier volume finit en apothéose avec un combat qui pose plus de questions qu'il n'en résout et qui forme un tournant dans le destin du héros.
Il est cependant à noter que le roman offre beaucoup plus de densité à l'histoire en donnant de multiples détails aussi bien sur les personnages que sur l'univers du jeu.
Ce dernier tome commence par revenir sur les aventures passées des deux héros puis termine le cycle avec la confrontation finale.
Il adapte donc la construction du roman afin de mettre en avant l'intrigue principale et son dénouement.
Les péripéties annexes sont en quelque sorte fondues dans le récit et certains événements n'apparaissent pas.
Mais, à l'inverse, on peut aussi trouver plus d'explications à l'intérieur du manga sur les épisodes essentiels qui sont comme précisés et bien sûr avoir le plaisir des illustrations !
Le roman et le manga peuvent donc au final être vus comme complémentaires.
Ce que j'apprécie dans cet univers c'est sa complexité mais aussi sa capacité à nous imaginer en mode survie afin de nous renvoyer vers les vraies valeurs de l'existence : l'amour, l'amitié, la loyauté, l'entraide !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Le dessin réalisé par Tamako Makamura est conforme à l'esthétique attendue : grands yeux, nombreuses mise en avant des visages des héros et importance des scènes de combat.
L'histoire est fidèle au roman. On retrouve à la fois l'intrigue principale : les deux jeunes héros arriveront-ils à sortir d'Aincrad ? et les péripéties annexes qui permettent de mieux cerner leur passé et leur personnalité.
L'équilibre entre le désir de terminer le jeu afin d'être libéré de toute contrainte est ici aussi pondérée par la question de l'adaptabilité des gamers à se satisfaire de la vie ordinaire.
Le découpage est intéressant puisque ce premier volume finit en apothéose avec un combat qui pose plus de questions qu'il n'en résout et qui forme un tournant dans le destin du héros.
Il est cependant à noter que le roman offre beaucoup plus de densité à l'histoire en donnant de multiples détails aussi bien sur les personnages que sur l'univers du jeu.
Ce dernier tome commence par revenir sur les aventures passées des deux héros puis termine le cycle avec la confrontation finale.
Il adapte donc la construction du roman afin de mettre en avant l'intrigue principale et son dénouement.
Les péripéties annexes sont en quelque sorte fondues dans le récit et certains événements n'apparaissent pas.
Mais, à l'inverse, on peut aussi trouver plus d'explications à l'intérieur du manga sur les épisodes essentiels qui sont comme précisés et bien sûr avoir le plaisir des illustrations !
Le roman et le manga peuvent donc au final être vus comme complémentaires.
Ce que j'apprécie dans cet univers c'est sa complexité mais aussi sa capacité à nous imaginer en mode survie afin de nous renvoyer vers les vraies valeurs de l'existence : l'amour, l'amitié, la loyauté, l'entraide !
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