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Critique de Darlic
On peut dire que le style de l'auteur ne s'est pas amélioré depuis l'époque des Royaumes oubliés. En plus d'avoir un style pas très raffiné, il passe complètement à côté de sa copie. On se demande comment Shelly Shapiro peut donner son aval pour un tel scénario. Pourtant au début du roman j'y ai cru mais rapidement on se rend compte que Paul S.Kemp s'est très mal documenté sur les personnages de Dark Vador et de l'Empereur. Vador une fois enfermer dans son armure perds une grande partie avec sa connexion avec la force. Il doit donc se rabatte sur d'autres aspect de la Force pour rester à un niveau acceptable (étranglement, éclair de force, télékinésie...). Il ne sait plus bondir comme un marsupial comme l'auteur le décris dans presque chaque scène. James Luceno l'a bien compris dans son Dark Lord mais pas Paul S.Kemp qui ferait mieux de rester à l'adaptation de jeux vidéos. de plus Vador à besoin de sa salle d'équilibration pour survivre et là il se retrouve coincé sur une planète durant on ne sait trop combien de temps. Palpaltine quant à lui est presque risible. Déjà il se déplace sans une flotte conséquente alors qu'il aime montrer sa toute puissance à l galaxie toute entière. Il fait presque pensé à un gamin attardé. Ne parlons même pas des rebelles qui stéréotypés. Bref un énième roman de Star Wars qui passe à côté de sa copie une fois de plus. Ce qui va vraiment dirigé mon choix de mes lectures dans cet univers, c'est à dire les romans de l'univers légendes et plus l'univers tel que le conçoit Disney... Seul point positif qui rattrape légèrement ce roman c'est le côté psychologique de Vador assez proche de ce qu'il devrait être.
