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Critique de musaraneus
Premier tome de la série Briar university, la petite soeur de Off campus, dans laquelle on retrouve une soeurette justement : celle de Dean di Laurentis, le beau et sexy hockeyeur du troisième opus, The score.
Summer en pinçait déjà pour Colin le geek de l'équipe, va t'elle enfin conclure ? rien n'est moins sûr puisque la jolie et un peu fofolle fille à papa passe pour une écervelée aux yeux de son crush…
Une petite bluette « top campus » sympathique et qui se laisse lire, mais sans plus. L'autrice de la série Off campus nous a habitué à un peu plus de fantaisie, et si j'ai passé un moment agréable, je n'ai pas retrouvé le piquant de ces précédent romans.
Malgré tout, j'aime bien cette autrice car elle y va de bon coeur sur le côté solidarité féminine et sororité, ce que je trouve à la fois bienveillant et plutôt bien vu dans un genre littéraire très cliché et encore très conventionnel finalement. Ici la féminité est assumée un peu à la manière du film La revanche d'une blonde, où le personnage de Elle Woods, sorte de barbie catapultée un peu par hasard sur les bancs de Harvard, assume d'être hyper féminine mais également intelligente, prouvant à son entourage que ce n'est pas incompatible.
Le film est d'ailleurs cité dans le roman.
Une romance gentillette mais qui manque un peu de drôlerie et de piment selon moi.
Summer en pinçait déjà pour Colin le geek de l'équipe, va t'elle enfin conclure ? rien n'est moins sûr puisque la jolie et un peu fofolle fille à papa passe pour une écervelée aux yeux de son crush…
Une petite bluette « top campus » sympathique et qui se laisse lire, mais sans plus. L'autrice de la série Off campus nous a habitué à un peu plus de fantaisie, et si j'ai passé un moment agréable, je n'ai pas retrouvé le piquant de ces précédent romans.
Malgré tout, j'aime bien cette autrice car elle y va de bon coeur sur le côté solidarité féminine et sororité, ce que je trouve à la fois bienveillant et plutôt bien vu dans un genre littéraire très cliché et encore très conventionnel finalement. Ici la féminité est assumée un peu à la manière du film La revanche d'une blonde, où le personnage de Elle Woods, sorte de barbie catapultée un peu par hasard sur les bancs de Harvard, assume d'être hyper féminine mais également intelligente, prouvant à son entourage que ce n'est pas incompatible.
Le film est d'ailleurs cité dans le roman.
Une romance gentillette mais qui manque un peu de drôlerie et de piment selon moi.
