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Critique de kateginger63
Venez faire une croisière romantique sur le Riverboat!
*
Je remercie tout particulièrement Diana Kennedy, l'auteure-dessinatrice pour m'avoir envoyé son album (volume 1-3).
C'est une attention délicate puisque cet album est imprimé en tout petit tirage (100 exemplaires).
Riverboat est une grande fresque s'étendant sur 9 volumes .
Un univers onirique, d'un genre steampunk (on oscille entre le 19ème siècle et le 20e avec quelques touches de période romaine), d'intrigue policière et quelques touches de fantastique (pouvoirs, créatures magiques).
*
On suit les aventures de John Kennedy et d'Aldo Moro qui sont à la quête d'un poème/parchemin ancien. Ils se trouvent à bord d'un paquebot à aubes. Des invités de marque sur ce bateau: journaliste, écrivain, aristocratie, chanteuse de cabaret, milliardaire....tout un monde hétéroclite.
Et n'oublions pas le parachat Mallie (c'est un chat qui peut lire dans les pensées et qui parle :).
Nos deux héros vont se retrouver impliqués dans un imbroglio politique et véritablement secret.
*
Je n'ai pas l'habitude de lire des dessins à l'aquarelle. J'ai donc dû prendre un peu de temps pour me familiariser avec les couleurs et les traits esquissés. Je me rends bien compte que ça a dû être un long travail de peinture. Les tons sont doux et le crayonné fin. Assez féminin dans l'ensemble. Les traits des personnages notamment les visages sont bien marqués (et on reconnaît le président Kennedy dans John!) (un petit clin d'oeil!). Et moi qui suis une tintinophile, j'ai même de suite pensé à Tintin (cette même curiosité, bravoure ,courage et jeunesse de ce héros). Aldo Moro, je le vois un peu comme le mentor, l'homme sage et philosophe.
*
Les situations s'enchainent, pas de temps mort dans le scénario. de l'humour toujours. Un peu déroutée au départ (la première planche) mais tout s'explique ensuite.
Je me suis prise à l'intrigue. Et triste (et frustrée) à la fin du volume.
En conclusion, un petit bijou à feuilleter encore et encore.
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Je remercie tout particulièrement Diana Kennedy, l'auteure-dessinatrice pour m'avoir envoyé son album (volume 1-3).
C'est une attention délicate puisque cet album est imprimé en tout petit tirage (100 exemplaires).
Riverboat est une grande fresque s'étendant sur 9 volumes .
Un univers onirique, d'un genre steampunk (on oscille entre le 19ème siècle et le 20e avec quelques touches de période romaine), d'intrigue policière et quelques touches de fantastique (pouvoirs, créatures magiques).
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On suit les aventures de John Kennedy et d'Aldo Moro qui sont à la quête d'un poème/parchemin ancien. Ils se trouvent à bord d'un paquebot à aubes. Des invités de marque sur ce bateau: journaliste, écrivain, aristocratie, chanteuse de cabaret, milliardaire....tout un monde hétéroclite.
Et n'oublions pas le parachat Mallie (c'est un chat qui peut lire dans les pensées et qui parle :).
Nos deux héros vont se retrouver impliqués dans un imbroglio politique et véritablement secret.
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Je n'ai pas l'habitude de lire des dessins à l'aquarelle. J'ai donc dû prendre un peu de temps pour me familiariser avec les couleurs et les traits esquissés. Je me rends bien compte que ça a dû être un long travail de peinture. Les tons sont doux et le crayonné fin. Assez féminin dans l'ensemble. Les traits des personnages notamment les visages sont bien marqués (et on reconnaît le président Kennedy dans John!) (un petit clin d'oeil!). Et moi qui suis une tintinophile, j'ai même de suite pensé à Tintin (cette même curiosité, bravoure ,courage et jeunesse de ce héros). Aldo Moro, je le vois un peu comme le mentor, l'homme sage et philosophe.
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Les situations s'enchainent, pas de temps mort dans le scénario. de l'humour toujours. Un peu déroutée au départ (la première planche) mais tout s'explique ensuite.
Je me suis prise à l'intrigue. Et triste (et frustrée) à la fin du volume.
En conclusion, un petit bijou à feuilleter encore et encore.
