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Critique de OScaryne
Pour commencer, je remercie les éditions Palémon et l'équipe de Babelio dont l'opération "masse critique" m'a permis de découvrir "evaporé" et Anne-Solen Kerbrat.
Un roman policier assez classique qui commence par la disparition inquiétante d'un homme dont on est pas vraiment sûr qu'il soit qui il prétend.
J'ai eu du mal a entrer dans l'histoire en raison de la narration au présent, des paragraphes et chapitres très longs et de la présence de beaucoup de personnages sur lesquels les informations nous sont données au compte goute dans le but de préserver tension et suspens.
Je suis passée à côté de l'effet recherché... Beaucoup de délayage à mon goût et de passages qui ne m'ont pas semblé apporter grand chose à la trame.
C'est au moment du dénouement (50 pages avant la fin) que les choses s'accélèrent et qu'on apprend tout de go les motivations des protagonistes. Je penses que celles-ci auraient gagné à être insufflées tout au long du roman.
L'écriture est néanmoins fluide et agréable, ce qui m'a permis d'aller jusqu'au bout sans envie d'abandon.
En résumé : une histoire qui tient la route mais desservie par un déséquilibre dans la construction narrative.
Un roman policier assez classique qui commence par la disparition inquiétante d'un homme dont on est pas vraiment sûr qu'il soit qui il prétend.
J'ai eu du mal a entrer dans l'histoire en raison de la narration au présent, des paragraphes et chapitres très longs et de la présence de beaucoup de personnages sur lesquels les informations nous sont données au compte goute dans le but de préserver tension et suspens.
Je suis passée à côté de l'effet recherché... Beaucoup de délayage à mon goût et de passages qui ne m'ont pas semblé apporter grand chose à la trame.
C'est au moment du dénouement (50 pages avant la fin) que les choses s'accélèrent et qu'on apprend tout de go les motivations des protagonistes. Je penses que celles-ci auraient gagné à être insufflées tout au long du roman.
L'écriture est néanmoins fluide et agréable, ce qui m'a permis d'aller jusqu'au bout sans envie d'abandon.
En résumé : une histoire qui tient la route mais desservie par un déséquilibre dans la construction narrative.
