Nous lisons ici les lignes d'un livre «sacré», comme
Jack Kerouac le qualifie lui-même. Comment ne pas voir l'attachement qu'il avait à son frère qui devait le quitter pour un monde...pas plus réel que celui du la terre et pas plus «juste» non plus.
Jack Kerouac refuse la vie qui n'est que initiation à la mort.
Paradoxalement, il décrit les derniers jours de Gérard, son frère, dans un atmosphère de sainteté si touchante que nous ne pouvons pas vraiment croire à son agnosticisme.
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