Récit à plusieurs voix à bord du catamaran tentant le Trophée
Jules Vernes 1994.
On peut accuser le mauvais sort dans le pot au noir mais je suis peu convaincu par un Kersauson montrant peu d'empathie et de charisme, s'isolant derrière sa table à cartes, indifférent à la cohésion de son équipage.
J'ai été touché par Pradel, le toulonnais bordélique dont on se moque car barrant cheveux au vent dans tous les temps, mais tout en finesse, en harmonie avec les vagues et le vent.
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