En Iran et dans l'émigration, un phénomène de retour au zoroastrisme, ou d'intérêt renouvelé pour lui, se fait sentir, et l'auteur, zoroastrien lui-même, semble participer de ce mouvement. Il fait remarquer que les grands textes de cette antique religion persane font l'objet de débats philologiques de spécialistes, mais que nul traducteur doué, dit-il, de "sensibilité spirituelle" n'a encore essayé de rendre les grands hymnes zoroastriens en français. de fait, on ne perçoit aucune poésie dans les traductions habituelles, et une version croyante et informée est toujours bienvenue. Celle-ci est précédée d'une présentation générale de la religion, qu'il est bon de comparer à celle de Jean Varenne.
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