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Critique de RosenDero


Sous les villes humaines courent les innombrables galeries d'égouts créées pour le bien des populations, pour améliorer l'hygiène et augmenter l'espérance de vie. Oui, mais des créatures répugnantes habitent dans ce monde sous-terrain, et elles ont fermement décidé de coloniser les villes et de réduire leurs habitants en esclavage...

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On ne s'embarrasse pas de mise en bouche ou de rappel, en moins de 10 pages l'auteur nous fait rencontrer les Skaven (ces êtres prétendument imaginaires, mi-hommes mi-rats, que l'on dit peupler les galeries et sous-terrains des cités du Vieux Monde) et la Malepierre (cette roche corrompue par le Chaos, d'où viennent la plupart des mutations).
3 points de vue différents se suivent et viendront se mélanger tout au long du récit : Gotrek et Félix, bien sûr, mais aussi ceux des Skaven et ceux d'autres humains habitant Nuln (individus corrompus ou aides précieuses).

Alors bien sûr, si ce tome (et la série en général) peut être lu par tous, il est clair que seuls les initiés au monde sombre et cruel de Warhammer sauront en tirer quelque chose .

Par rapport au premier tome, le style est un peu moins bon (à moins que ce ne soit un problème de traduction) , moins recherché, mais toujours aussi percutant et fluide, on ne se perd pas dans des descriptions, ça va droit au but. Les aller-retour entre les points de vue sont un peu lourds par moment.

Autant le premier opus des aventures de Gotrek et Felix m'avait bien plu, autant celui-ci s'est montré relativement peu intéressant avec son côté "quête rapide" et ses conclusions hâtives (boss mort, fin de scénar, nouveau départ). J'avais beaucoup apprécié le côté diversifié et le panorama permettant un tour d'horizon du monde de Warhammer, à on se cantonne à la cité de Nuln et aux Skaven qui jouent le rôle de bouffons toujours perdants.
Malheureusement le personnage de Gotrek est très peu présent (bien que toujours décisif) et on n'en apprend que très très peu à son sujet. Toutefois, la fin laisse entrevoir un sursaut d'intérêt et promet de grandes aventures itinérantes ; à suivre, même si la critique de Skritt ne donne pas envie...
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