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Critique de Taraxacum
Pour être honnête, je n'ai pas été réellement convaincue par ce livre... J'avoue, j'ai de vilains préjugés snobs pour la littérature marketée pour les damoiselles et tendance à l'éviter, tout simplement, mais une amie m'avait vanté ses louanges, alors pourquoi pas?
La Sadie du titre n'est autre que la grand-tante de la narratrice, petite dame de 105 ans dont l'enterrement ouvre le livre mais elle est aussi le fantôme de la Sadie de 23 ans, portée sur le charleston, les cocktails , les garçons et les voitures rapides. Fantôme qui va se mettre aussi sec à hanter sa petite nièce, la seule à pouvoir la voir, de façon à ce que celle-ci l'aide à retrouver son collier disparu, sans lequel elle refuse de trouver le repos éternel.
Disons le tout de suite: Sadie est totalement insupportable. Je comprends que la mort soit traumatisante mais pourrir soigneusement la vie de sa seule alliée, comme une sale gosse, parce qu'il lui faut ça ou ça , là, maintenant, tout de suite, tant pis si elle fait passer l'autre pour une folle en l'obligeant à parler apparemment toute seule en interrompant une conversation? Et Lara, la narratrice, de se laisser faire!
Si une grande tante morte me faisait le coup, je ne pense pas que je me laisserai donner des ordres ainsi.. Surtout que je viens de compter, des grandes tantes mortes j'en ai 10 pour l'instant, il ne faudrait pas que me voir jouer les lavettes donne des idées aux 9 autres, ce serait très vite la Bérézina, mais je m'écarte du sujet...
Évidemment, vu le type de littérature, tous les caprices de Sadie se révéleront avoir des conséquences très positives pour Lara et les siens, à l'aide d'énormes coïncidences, et au fil d'un livre doté de pas mal de longueurs, surtout au début.
A lire cette critique, on se demande sans doute pourquoi j'ai mis trois étoiles, et bien parce que cela se lit facilement, que la fin rattrape un peu le début et que je pense quand même que dans la catégorie chick lit, il s'en sort plutôt pas mal , ce n'est juste pas mon genre de livres!
La Sadie du titre n'est autre que la grand-tante de la narratrice, petite dame de 105 ans dont l'enterrement ouvre le livre mais elle est aussi le fantôme de la Sadie de 23 ans, portée sur le charleston, les cocktails , les garçons et les voitures rapides. Fantôme qui va se mettre aussi sec à hanter sa petite nièce, la seule à pouvoir la voir, de façon à ce que celle-ci l'aide à retrouver son collier disparu, sans lequel elle refuse de trouver le repos éternel.
Disons le tout de suite: Sadie est totalement insupportable. Je comprends que la mort soit traumatisante mais pourrir soigneusement la vie de sa seule alliée, comme une sale gosse, parce qu'il lui faut ça ou ça , là, maintenant, tout de suite, tant pis si elle fait passer l'autre pour une folle en l'obligeant à parler apparemment toute seule en interrompant une conversation? Et Lara, la narratrice, de se laisser faire!
Si une grande tante morte me faisait le coup, je ne pense pas que je me laisserai donner des ordres ainsi.. Surtout que je viens de compter, des grandes tantes mortes j'en ai 10 pour l'instant, il ne faudrait pas que me voir jouer les lavettes donne des idées aux 9 autres, ce serait très vite la Bérézina, mais je m'écarte du sujet...
Évidemment, vu le type de littérature, tous les caprices de Sadie se révéleront avoir des conséquences très positives pour Lara et les siens, à l'aide d'énormes coïncidences, et au fil d'un livre doté de pas mal de longueurs, surtout au début.
A lire cette critique, on se demande sans doute pourquoi j'ai mis trois étoiles, et bien parce que cela se lit facilement, que la fin rattrape un peu le début et que je pense quand même que dans la catégorie chick lit, il s'en sort plutôt pas mal , ce n'est juste pas mon genre de livres!
