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Critique de Meygisan


Ce tome 6 est plutôt riche et dense. le récit a même des airs de western, on se croirait presque revenu au bon temps de Clint Eastwood. Gally jouant de l'harmonica dans une position on ne peut plus équivoque rappelle furieusement Charles Bronson dans Il était une fois dans l'ouest.
L'épopée même de la cyborg est une véritable aventure dans l'ouest américain. La référence est des plus évidentes me semble t'il...
On retrouve donc Gally en quête de son humanité et de son identité, et désormais c'est loin de la ville qu'elle exerce ses talents, louant ses capacités à un homme qui peut l'aider à retrouver Desty Nova qui lui avait promis de ramener Ido à la vie.
Gally s'en va en guerre et rencontre sur sa route un homme qui pourrait bien changer sa vie. Ce n'est sans doute par un hasard si celui ci n'est pas un "cybérisé".
Mais au final, Gally a t'elle bien une place dans ce monde ci. Son côté rebelle, sa soif de liberté ne résume t'il pas tout ce qu'elle est? Pourquoi chercher à entrer dans une case ou une catégorie alors que ce qui la caractérise est justement de n'appartenir à personne, de faire ce qu'elle veut? n'est pas vivre tout simplement, finalement...?
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