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Critique de Laehb80
Le titre est trompeur, ou plus exactement sa traduction.
Christine Butcher n'est pas une confidente, ce qui impliquerait une relation amicale, mais la secrétaire - The secretary en VO - l'assistante, celle qui par sa fonction sait beaucoup de choses, devenue invisible elle est pourtant présente lors des négociations, connaît bon nombre de secrets. Toutes ces années de bons et loyaux services renforceront son pouvoir sur ceux pour qui elle n'a pas compté ses heures, qu'elle a fait passé avant sa vie de mère et d'épouse, ceux qui l'ont méprisée et mal jugée.
À 25 ans, elle est recrutée par Mina Appleton, fille d'un richissime Lord à la tête d'une chaîne de supermarchés éthiques et équitables. Au décès de son père, elle prend la direction de l'entreprise et bafoue les principes familiaux, n'ayant plus qu'un but : gagner toujours plus sans se préoccuper de ce que ses décisions impliquent, de ce qu'elle piétine au passage.
En bon gourou/tyran, Mina tient ses employés au creux de sa main et n'hésite pas à serrer. Modèle parfait de l'arrogance, cette femme est ce qu'il y a de plus détestable au monde mais sera finalement rattrapée par ses fautes.
Ce roman psychologique est assez long à se mettre en place et il m'a semblé d'autant plus longuet que je n'ai ressenti aucune sympathie pour les personnages, juste l'envie de leur mettre des claques aussi bien à l'une qu'à l'autre.
Le dernier quart est plus intéressant car il gagne en rythme et en suspense mais je n'ai pas du tout adhéré à la fin.
Christine Butcher n'est pas une confidente, ce qui impliquerait une relation amicale, mais la secrétaire - The secretary en VO - l'assistante, celle qui par sa fonction sait beaucoup de choses, devenue invisible elle est pourtant présente lors des négociations, connaît bon nombre de secrets. Toutes ces années de bons et loyaux services renforceront son pouvoir sur ceux pour qui elle n'a pas compté ses heures, qu'elle a fait passé avant sa vie de mère et d'épouse, ceux qui l'ont méprisée et mal jugée.
À 25 ans, elle est recrutée par Mina Appleton, fille d'un richissime Lord à la tête d'une chaîne de supermarchés éthiques et équitables. Au décès de son père, elle prend la direction de l'entreprise et bafoue les principes familiaux, n'ayant plus qu'un but : gagner toujours plus sans se préoccuper de ce que ses décisions impliquent, de ce qu'elle piétine au passage.
En bon gourou/tyran, Mina tient ses employés au creux de sa main et n'hésite pas à serrer. Modèle parfait de l'arrogance, cette femme est ce qu'il y a de plus détestable au monde mais sera finalement rattrapée par ses fautes.
Ce roman psychologique est assez long à se mettre en place et il m'a semblé d'autant plus longuet que je n'ai ressenti aucune sympathie pour les personnages, juste l'envie de leur mettre des claques aussi bien à l'une qu'à l'autre.
Le dernier quart est plus intéressant car il gagne en rythme et en suspense mais je n'ai pas du tout adhéré à la fin.
