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Critique de LoupAlunettes
On aura compris, la discussion est largement abordé aujourd'hui sur la littérature jeunesse, sur les disciplines dites genrées.
Pourtant par le passé et hors littérature, le débat fut déja lancé, ouvrant des disciplines dites masculines aux femmes, ces sciences ne justifiant pas la loi d'un sexe pour être comprise ou maitrisée.
Voyez le football féminin qui trouve à présent son petit succès mérité.
Le sujet nous semble pourtant nouveau, tourné dans l'autre sens.
Des hommes se réclamant de vouloir par exemple devenir "sage-femmes" ou "auxiliaire de crèche".
Renseignez-vous, vous verrez chers jeunes lecteurs, le sujet est passionant. Ces discussions tendent souvent à révolutionner des frontières tandis qu'il faille seulement considérer qu'elles puissent être depuis le début simplement poreuse, ne changeant rien à la nature de chacun.
Une vue de l'esprit, voici ce que nous inspire les élans d'une partie sociétale plus ouverte.
Le personnage de cette Bande dessinée ne défit sciemment aucun ordre, n'a pas la révolution dans le sang, Aster, 13 ans, a le goût de la science des plantes et de sa magie.
Nous découvrons dès le départ les natures magiciens et sorcières de sa famille très nombreuse.
Une magie est réservé à la force combative, animale et stratégique des garçons( un moule établi) et une autre nourrit et renforce le lien protecteur des femmes de la famille avec Mère Nature.
Aster se trouve un peu en difficulté avec sa sensibilité beaucoup plus tourné vers l'art magique des jardins.
La mère d'Aster nous raconte que les garçons ne peuvent correctement maîtriser cette magie sans perdre l'esprit, il y a à priori des précédents.
" C'est juste que je trouve dommage qu'on courre dans les bois pendabt que les filles s'instruisent...", nous confie Aster.
Pauvre garçon.
L'aventure prendra des raccourcis pour qu'en plus des dangers d'apprentissage de la magie nous puissions suivre les parcours initiatiques de tous ces cousins et cousines.
C'est vite prenant et cela devrait plaire.
Molly Knox Ostenberg fait preuve d'une belle sensibilité sans trop en faire ou tomber dans caricature pour délivrer un message.
Cela coule tout seul.
Nous ne serons pas obligé d'associer une nature et recherche de soi avec une quête d'identité, comme certains grands lecteurs pourront le supposer mais on ne pourra pas dire pour autant que cela ne parle pas de ça.
Pour un public jeune ado, c'est habilement amené.
Le récit est vraiment sympa, il conduit à nous poser des questions: cette famille vivant en clan, protégé par des stèles magiques, y en a t-il d'autres comme eux?
Probable.
Et on le lit, le mauvais usage de la magie peut mettre en péril la tranquilité d'une communauté.
De terribles phénomènes commenceront avec les épreuves des ados de la famille.
Un titre d'une perspective simple, philosophiquement profonde néanmoins, une BD divertissante et attachante.
Pourtant par le passé et hors littérature, le débat fut déja lancé, ouvrant des disciplines dites masculines aux femmes, ces sciences ne justifiant pas la loi d'un sexe pour être comprise ou maitrisée.
Voyez le football féminin qui trouve à présent son petit succès mérité.
Le sujet nous semble pourtant nouveau, tourné dans l'autre sens.
Des hommes se réclamant de vouloir par exemple devenir "sage-femmes" ou "auxiliaire de crèche".
Renseignez-vous, vous verrez chers jeunes lecteurs, le sujet est passionant. Ces discussions tendent souvent à révolutionner des frontières tandis qu'il faille seulement considérer qu'elles puissent être depuis le début simplement poreuse, ne changeant rien à la nature de chacun.
Une vue de l'esprit, voici ce que nous inspire les élans d'une partie sociétale plus ouverte.
Le personnage de cette Bande dessinée ne défit sciemment aucun ordre, n'a pas la révolution dans le sang, Aster, 13 ans, a le goût de la science des plantes et de sa magie.
Nous découvrons dès le départ les natures magiciens et sorcières de sa famille très nombreuse.
Une magie est réservé à la force combative, animale et stratégique des garçons( un moule établi) et une autre nourrit et renforce le lien protecteur des femmes de la famille avec Mère Nature.
Aster se trouve un peu en difficulté avec sa sensibilité beaucoup plus tourné vers l'art magique des jardins.
La mère d'Aster nous raconte que les garçons ne peuvent correctement maîtriser cette magie sans perdre l'esprit, il y a à priori des précédents.
" C'est juste que je trouve dommage qu'on courre dans les bois pendabt que les filles s'instruisent...", nous confie Aster.
Pauvre garçon.
L'aventure prendra des raccourcis pour qu'en plus des dangers d'apprentissage de la magie nous puissions suivre les parcours initiatiques de tous ces cousins et cousines.
C'est vite prenant et cela devrait plaire.
Molly Knox Ostenberg fait preuve d'une belle sensibilité sans trop en faire ou tomber dans caricature pour délivrer un message.
Cela coule tout seul.
Nous ne serons pas obligé d'associer une nature et recherche de soi avec une quête d'identité, comme certains grands lecteurs pourront le supposer mais on ne pourra pas dire pour autant que cela ne parle pas de ça.
Pour un public jeune ado, c'est habilement amené.
Le récit est vraiment sympa, il conduit à nous poser des questions: cette famille vivant en clan, protégé par des stèles magiques, y en a t-il d'autres comme eux?
Probable.
Et on le lit, le mauvais usage de la magie peut mettre en péril la tranquilité d'une communauté.
De terribles phénomènes commenceront avec les épreuves des ados de la famille.
Un titre d'une perspective simple, philosophiquement profonde néanmoins, une BD divertissante et attachante.
