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Critique de freboul
Cette jolie histoire de Brelin permet d'aborder l'autisme avec poésie, finesse, tout en la plaçant dans le monde des enfants, avec l'évocation du parc d'attraction. Les métaphores sont très poétiques, subtiles, chantantes parfois.
Kochka met l'amour fraternel au coeur de ce récit, et Jérémie le grand frère de Brelin évolue vers son frère en parallèle de sa maturité, il est celui qui le comprend le mieux. Et c'est grâce à lui et l'amour qu'il porte à son petit frère qui permettent de retrouver Brelin.
J'ai travaillé avec des enfants autistes , lorsque j'ai été plus jeune, et donc ce livre m'a beaucoup touché car Kochka aborde cette différence avec beaucoup de tendresse, et elle pointe également la différence d'appréciation que nos cultures peuvent porter sur l'autisme.
En effet, la culture africaine n'a t-elle pas raison en qualifiant les autistes de fous, c'est à dire pour elle des Magiciens...le monde n'est il pas plus serein et beau ?
Kochka met l'amour fraternel au coeur de ce récit, et Jérémie le grand frère de Brelin évolue vers son frère en parallèle de sa maturité, il est celui qui le comprend le mieux. Et c'est grâce à lui et l'amour qu'il porte à son petit frère qui permettent de retrouver Brelin.
J'ai travaillé avec des enfants autistes , lorsque j'ai été plus jeune, et donc ce livre m'a beaucoup touché car Kochka aborde cette différence avec beaucoup de tendresse, et elle pointe également la différence d'appréciation que nos cultures peuvent porter sur l'autisme.
En effet, la culture africaine n'a t-elle pas raison en qualifiant les autistes de fous, c'est à dire pour elle des Magiciens...le monde n'est il pas plus serein et beau ?
