>
Critique de Yvan_T
Ce dixième volume rassemble à nouveau cinq histoires:
1. La lettre du Yagyu
2. Les larmes de Daigoro 3. La femme et l'enfant 4. Ombres mouvantes
5. L'otage
La dernière histoire du tome précédent (La lettre du Yagyu : prologue) annonçait déjà un peu la couleur et c'est donc sans surprise que l'on découvre un début d'album rythmé par l'action et les combats. En s'emparant de documents compromettants pour les Yagyu, Lone Wolf a mis le feu aux poudres. Alors que Yagyu Retsudo, le puissant chef du clan, était jusqu'à présent lié par une promesse qui l'empêche d'attaquer Ogami ouvertement, l'interception de cette missive secrète remet tout en question. La première histoire accumule les cadavres et baigne donc dans le sang et la violence.
Les quatre histoires suivantes se concentrent sur Daïgoro, le fils d'Ogami Itto. L'auteur va de nouveau parfaitement exploiter le côté attachant de ce petit garçon de trois ans, mais il va également développer la psychologie de ce petit être bercé par la violence et élevé au milieu des cadavres. Un enfant dont les yeux reflètent tout le mal qu'il a eu l'occasion de voir mais qui a hérité de la fierté, du courage et du sens de l'honneur de son père. Un Daïgoro qui va d'ailleurs verser ses premières larmes avant de finir otage d'un brigand qui va découvrir toute la force qui émane de ce petit bout d'homme.
Même si ce dixième volet est un peu moins didactique et plus centré sur l'action, les passages en compagnie de Daïgoro sont très convaincants.
1. La lettre du Yagyu
2. Les larmes de Daigoro 3. La femme et l'enfant 4. Ombres mouvantes
5. L'otage
La dernière histoire du tome précédent (La lettre du Yagyu : prologue) annonçait déjà un peu la couleur et c'est donc sans surprise que l'on découvre un début d'album rythmé par l'action et les combats. En s'emparant de documents compromettants pour les Yagyu, Lone Wolf a mis le feu aux poudres. Alors que Yagyu Retsudo, le puissant chef du clan, était jusqu'à présent lié par une promesse qui l'empêche d'attaquer Ogami ouvertement, l'interception de cette missive secrète remet tout en question. La première histoire accumule les cadavres et baigne donc dans le sang et la violence.
Les quatre histoires suivantes se concentrent sur Daïgoro, le fils d'Ogami Itto. L'auteur va de nouveau parfaitement exploiter le côté attachant de ce petit garçon de trois ans, mais il va également développer la psychologie de ce petit être bercé par la violence et élevé au milieu des cadavres. Un enfant dont les yeux reflètent tout le mal qu'il a eu l'occasion de voir mais qui a hérité de la fierté, du courage et du sens de l'honneur de son père. Un Daïgoro qui va d'ailleurs verser ses premières larmes avant de finir otage d'un brigand qui va découvrir toute la force qui émane de ce petit bout d'homme.
Même si ce dixième volet est un peu moins didactique et plus centré sur l'action, les passages en compagnie de Daïgoro sont très convaincants.
