Ce troisième roman de
Martin Koppe n'est ni une caricature ni une dystopie. Mais comme les deux précédents, il distille le malaise parfois jusqu'au vertige. "
Mémoires vives" est un miroir qui nous montre l'humanité (dont nous faisons tous partie) telle qu'elle est réellement : c'est à dire un subtil mélange de gris quelque part entre le noir profond et le blanc lumineux. À la lecture de ces pages, on oscille constamment entre nausée et jubilation, sans pouvoir choisir vers où notre coeur balance, jusqu'à la chute finale qui laisse pantois.
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