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Critique de saigneurdeguerre
A la fin du tome 1, nous avions assisté au départ en bateau d'Okriana, reine d'Hazadul, vers des contrées inconnues, à la découverte de nouveaux mondes. Envie de faire du tourisme ? Espoir de s'emparer de nouvelles terres ? Hé, ben non ! Sur les quatre Dhals qui régnaient en maîtres sur Hazadul, se faisant passer pour des dieux, qu'ils n'étaient pas, un a eu comme qui dirait un solide problème, et ne devrait désormais plus en poser, un autre est devenu gentil et s'est bien intégré au sein de la population qu'il a soutenue contre ses compères animés de très mauvaises intentions. Ces deux-là semblent avoir quitté l'île… Mais sait-on jamais avec des cocos à la magie aussi puissante et à la défaite aussi humiliante ? Toujours est-il qu'Okriana pense éviter bien des problèmes à ses proches et à ses concitoyens en s'éloignant de son île natale, s'imaginant que le désir de vengeance des deux Dhals les poussera à la chercher elle…
Dans le tome 2, nous retrouvons Okriana sur un archipel, à Jeilfen. de drôles de pratiques s'y déroulent : le prévôt vous autorise (je résume) à réclamer le droit de débarquer sur une terre pour en prendre possession. D'autres que vous peuvent aussi prendre part aux festivités. Des alliances peuvent être mitonnées, les trahisons sont une pratique courante… Très vite, Okriana et ses compagnons se prennent au jeu d'autant qu'ils bénéficient de solides appuis : Magnist, Grand Sénéchal de l'Ordre des Justes, ne se contente pas de l'aider dans son entreprise d'avoir une terre à elle en se battant contre des sorciers pas très jolis jolis ! Non ! Non ! Magnist la fait entrer dans l'Ordre des Justes dont elle devient l'une des neuf têtes pensantes et agissantes. Bien sûr, le Grand Sénéchal en profite pour la glisser dans son lit car Okriana est tout de même une femme d'une beauté exceptionnelle et comme le brave homme ne veut rien se refuser…
Dans cet épisode, goules et harpies, nains et elfes, magiciens noirs et pas très clairs, sorcières et vampires s'invitent à la fête.
Selon une prophétie, Okriana doit faire équipe avec deux « soeurs » pour pouvoir vaincre le mal qui menace son univers… Va-t-elle les trouver ? A quoi ressembleront-elles ? Auront-elles, elles aussi des pouvoirs spéciaux « de-la-mort-qui-tue-même-les-déjà-morts » ? Vous le saurez en lisant «Le Nouveau Monde » !
Critique :
Pour le tome 1, j'avais regretté le manque de diplomatie et de trahisons… Voilà ! Ana Kori m'a entendu ! … Là, j'avoue : je me vante car elle avait déjà édité le 2e tome bien avant que je ne lise le premier et que j'en fasse la critique !
Le 1er tome avait quelque chose de « girly » … Ici, même si les femmes restent les héroïnes principales et les hommes des seconds rôles (et la plupart des méchants) les affaires semblent plus équilibrées, et la victoire guère assurée. Oserais-je dire que l'histoire a gagné en maturité ?
Je suis curieux de voir comment Ana Kori va gérer le troisième et dernier tome de la trilogie « Hazadef ».
J'aurais aimé un petit « qui est qui » à la fin ou au début de l'ouvrage car, face à tant de personnages, il arrive qu'un petit vieux tel que moi doive revenir des pages en arrière pour se rappeler qui est cet individu.
Je crains qu'il ne faille s'armer d'un peu de patience avant de déguster le troisième épisode… En attendant, si ce n'est pas déjà fait, achetez les deux premiers tomes.
Dans le tome 2, nous retrouvons Okriana sur un archipel, à Jeilfen. de drôles de pratiques s'y déroulent : le prévôt vous autorise (je résume) à réclamer le droit de débarquer sur une terre pour en prendre possession. D'autres que vous peuvent aussi prendre part aux festivités. Des alliances peuvent être mitonnées, les trahisons sont une pratique courante… Très vite, Okriana et ses compagnons se prennent au jeu d'autant qu'ils bénéficient de solides appuis : Magnist, Grand Sénéchal de l'Ordre des Justes, ne se contente pas de l'aider dans son entreprise d'avoir une terre à elle en se battant contre des sorciers pas très jolis jolis ! Non ! Non ! Magnist la fait entrer dans l'Ordre des Justes dont elle devient l'une des neuf têtes pensantes et agissantes. Bien sûr, le Grand Sénéchal en profite pour la glisser dans son lit car Okriana est tout de même une femme d'une beauté exceptionnelle et comme le brave homme ne veut rien se refuser…
Dans cet épisode, goules et harpies, nains et elfes, magiciens noirs et pas très clairs, sorcières et vampires s'invitent à la fête.
Selon une prophétie, Okriana doit faire équipe avec deux « soeurs » pour pouvoir vaincre le mal qui menace son univers… Va-t-elle les trouver ? A quoi ressembleront-elles ? Auront-elles, elles aussi des pouvoirs spéciaux « de-la-mort-qui-tue-même-les-déjà-morts » ? Vous le saurez en lisant «Le Nouveau Monde » !
Critique :
Pour le tome 1, j'avais regretté le manque de diplomatie et de trahisons… Voilà ! Ana Kori m'a entendu ! … Là, j'avoue : je me vante car elle avait déjà édité le 2e tome bien avant que je ne lise le premier et que j'en fasse la critique !
Le 1er tome avait quelque chose de « girly » … Ici, même si les femmes restent les héroïnes principales et les hommes des seconds rôles (et la plupart des méchants) les affaires semblent plus équilibrées, et la victoire guère assurée. Oserais-je dire que l'histoire a gagné en maturité ?
Je suis curieux de voir comment Ana Kori va gérer le troisième et dernier tome de la trilogie « Hazadef ».
J'aurais aimé un petit « qui est qui » à la fin ou au début de l'ouvrage car, face à tant de personnages, il arrive qu'un petit vieux tel que moi doive revenir des pages en arrière pour se rappeler qui est cet individu.
Je crains qu'il ne faille s'armer d'un peu de patience avant de déguster le troisième épisode… En attendant, si ce n'est pas déjà fait, achetez les deux premiers tomes.
