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Critique de XanderOne
Ouf, on est arrivé au bout. C'est un peu un sacerdoce, cette série.
Cet album est un peu mieux que le précédent parce que l'on devine ce que l'auteur essaye de nous faire passer : qu'il est cruel de renvoyer Tajima en prison après l'avoir laissé en "liberté" pendant 3 ans ! Et puis, son retour en prison est synonyme de mort ! Autant d'éléments censés vous arracher quelques sentiments... si tout cela était parfaitement maîtrisé.
Malheureusement, comme indiqué ci-dessus, le lecteur doit deviner ce que l'auteur veut faire. Normalement, c'est l'auteur qui par son récit, vient "chercher" le lecteur. Ici, c'est au lecteur de tenter de comprendre ce que l'auteur a voulu faire passer. Les enchaînements sont grotesques et obscurs (pourquoi le fait que le nouveau détenu 053 décède conduit-il au retour en prison de 042 ?), les péripéties sont pathétiques (c'est quoi ce mariage à la maison de retratie ?), les relations sont survolées... A l'image de tout les tomes de la série, le ton, qui se voulait certainement une ode à l'humanisme, reste gnagnan.
Seulement voilà, cet album conclusif aurait quand même pu, compte tenu de cette fin pas super drôle, bénéficier d'un ton un petit peu plus sérieux, constitué d'un peu plus de tension dramatique. Or là, ca reste plat et son se moque un peu du destin du personnage principal, ce qui est quand même dommage. A l'image des quatre premier tomes, ce dernier album est plus que moyen, tant par la narration que par l'intensité qu'il dégage.
En fait, s'il est meilleur que le précédent, c'est surtout parce qu'il marque la fin de la série, et arrive enfin à faire naître une semblant de sentiment chez le lecteur : du soulagement.
On sent que l'auteur aurait voulu faire pleurer avec ce dernier tome, qui ne récolte, dans le meilleur des cas, que de l'indifférence.
Cet album est un peu mieux que le précédent parce que l'on devine ce que l'auteur essaye de nous faire passer : qu'il est cruel de renvoyer Tajima en prison après l'avoir laissé en "liberté" pendant 3 ans ! Et puis, son retour en prison est synonyme de mort ! Autant d'éléments censés vous arracher quelques sentiments... si tout cela était parfaitement maîtrisé.
Malheureusement, comme indiqué ci-dessus, le lecteur doit deviner ce que l'auteur veut faire. Normalement, c'est l'auteur qui par son récit, vient "chercher" le lecteur. Ici, c'est au lecteur de tenter de comprendre ce que l'auteur a voulu faire passer. Les enchaînements sont grotesques et obscurs (pourquoi le fait que le nouveau détenu 053 décède conduit-il au retour en prison de 042 ?), les péripéties sont pathétiques (c'est quoi ce mariage à la maison de retratie ?), les relations sont survolées... A l'image de tout les tomes de la série, le ton, qui se voulait certainement une ode à l'humanisme, reste gnagnan.
Seulement voilà, cet album conclusif aurait quand même pu, compte tenu de cette fin pas super drôle, bénéficier d'un ton un petit peu plus sérieux, constitué d'un peu plus de tension dramatique. Or là, ca reste plat et son se moque un peu du destin du personnage principal, ce qui est quand même dommage. A l'image des quatre premier tomes, ce dernier album est plus que moyen, tant par la narration que par l'intensité qu'il dégage.
En fait, s'il est meilleur que le précédent, c'est surtout parce qu'il marque la fin de la série, et arrive enfin à faire naître une semblant de sentiment chez le lecteur : du soulagement.
On sent que l'auteur aurait voulu faire pleurer avec ce dernier tome, qui ne récolte, dans le meilleur des cas, que de l'indifférence.
