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Critique de Bchara


Le titre dit : "meurtre à Byzance". Donc, "meurtre" et "Byzance". Cependant:
Coté meurtre, après une entrée en matière intéressante, nous devons attendre une bonne centaine de pages avant de découvrir le meurtrier, mais entretemps, ce n'est pas une intrigue, loin de là, mais des divagations et introspections diverses sur tout et rien. La découverte du meurtrier, cependant, n'arrête pas ces réflexions, qui continuent pour 40 dernières pages.
Côté Byzance, c'est une byzance trop subjective qu'expose l'auteure.

Le roman m'a semblé tellement subjectif, qu'il en a été tellement ennuyant. C'est une soupe confuse de diatribes personnelles sur la migration, la politique, la religion, le mondialisme, le sexe, les genres, surtout la psychanalyse et la psychologie (l'auteure étant professionnelle dans ces domaines. A noter les références que l'auteure fait à ses propres théories!). bref tout ce qu'on espère éviter en lisant un roman intitulé "meurtre à byzance"

Le style lui-même n'a rien de byzantin: si Byzance est le classicisme, les canons et la beauté, le style du livre m'a semblé extrémement pénible, sans aucune beauté, prétentieux, que les "'nutile de le dire" parsemés ici et là ne rendent aucunement plus sympathique.

C'était une déception, du moins pour quelqu'un qui n'a lu le livre que pour l'espoir d'y trouver une byzance historique.
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