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Critique de Labullederealita


Bon alors là je suis totalement passée à côté de ce roman.

Du sexe, du sexe et de la baston, de la baston. Voilà en gros de quoi est constitué ce livre. le personnage principal a été traumatisé d'avoir assisté au viol d'une de ses voisines, une simple d'esprit, par des policiers. Cela s'est passé lorsqu'il était jeune et depuis il n'arrive plus à bander. Donc pendant tout le récit, vous avez un homme qui parle à son Oiseau pour lui demander conseils, l'exhorter à se lever et le rassurer.

Le récit entremêle diverses histoires, diverses époques. Notre héros est un amoureux très naïf, un homme qui ne se réserve que pour une seule femme. Il tente tout pour redonner vie à son sexe, pour pouvoir satisfaire sa femme. Après un événement glaçant, on le retrouve dix ans plus tard, chauffeur de camions, philosophe amateur qui prône le dialogue avec son Oiseau.

J'ai trouvé certains passages illogiques, j'avoue ne pas avoir compris pourquoi certains personnages agissaient ainsi. le langage cru toutes les deux pages me tapait un peu sur le système. Au niveau du style, j'ai juste apprécié le naturel et la fraîcheur des dialogues. Ils sont super vivants et contiennent beaucoup d'humour.

La seule chose que j'ai aimé dans ce roman, c'est comment l'auteur rend hommage aux femmes. Les femmes de cet ouvrage sont malmenées par la vie, par les hommes, par la société : une simple d'esprit qui se fait violer par des policiers, une jeune femme qui se fait toucher par son professeur, une femme qui se retrouve à devoir coucher avec son propriétaire pour assurer un toit sur la tête à ses enfants. L'une d'elles, Iteung se décide à prendre des cours d'arts martiaux, elle défit n'importe quel garçon et n'a peur de personne. Elle tente d'aider son mari au point de commettre les pires atrocités.

Une grosse déception...
Lien : https://labullederealita.wor..
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