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Critique de IreneAdler
Connus également sous le titre The crypt of terror.
Ces bandes dessinées courtes sont toutes parues dans le bi-mensuel, entre 1950 et 1955.
Tout est en noir et blanc, et l'esthétique des années 50 se fait délicieusement sentir : hommes au visage carré avec feutre et imper, femmes à la taille fine, la poitrine opulente et la mise impeccable (et la mentalité qui va avec évidemment).
Les histoires sont courtes. Chacune d'elle est introduite par quelques lignes d'explication (rapportée par un drôle de personnage à capuchon, qui semble se décomposer ; la mort peut-être). Il s'agit d'histoires policières ou horrifiques, toujours à suspens (Chair de poule n'a rien inventé !)
A lire pour découvrir les comics des fifties, hors super-héros.
Ces bandes dessinées courtes sont toutes parues dans le bi-mensuel, entre 1950 et 1955.
Tout est en noir et blanc, et l'esthétique des années 50 se fait délicieusement sentir : hommes au visage carré avec feutre et imper, femmes à la taille fine, la poitrine opulente et la mise impeccable (et la mentalité qui va avec évidemment).
Les histoires sont courtes. Chacune d'elle est introduite par quelques lignes d'explication (rapportée par un drôle de personnage à capuchon, qui semble se décomposer ; la mort peut-être). Il s'agit d'histoires policières ou horrifiques, toujours à suspens (Chair de poule n'a rien inventé !)
A lire pour découvrir les comics des fifties, hors super-héros.
