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Critique de MissSherlock
Comme de nombreux lecteurs du canon holmésien, je n'ai rien contre les pastiches. C'est toujours un plaisir de retrouver mon détective dans une aventure inédite. Encore faut-il que la nouvelle enquête respecte l'esprit du canon et ne massacre pas les personnages.
Chaque lecteur du canon a son seuil de tolérance concernant les prises de liberté avec l'oeuvre de Conan Doyle. Et je dois dire que The Sherlock Holmes Story a épuisé mes ressources et ceci dès la première page.
Mary Morstan qui devient Mary « Moston » n'est pas une petite erreur, c'est carrément un sacrilège. Et que dire de nos deux comparses qui se tutoient et s'expriment avec la modernité du XXIème siècle alors que l'action se situe à l'époque victorienne.
Notez d'ailleurs que l'auteur nous fourgue une référence bien lourde à Google. Je n'ai rien contre les anachronismes quand c'est bien fait (par Alexandre Astier par exemple) mais là ça tombe comme un cheveu sur le Tteokguk.
Le pompon, c'est tout de même l'absence d'énergie d'Holmes qui a l'air sous calmant du début à la fin de l'épisode. Son visage est inexpressif et, niveau déductions surprenantes, on n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent. On se demande d'ailleurs pourquoi Watson l'admire autant... au point de ramper vers lui comme un chien ! Ce dessin m'a tuée.
Je n'ai d'ailleurs pas aimé le dessin, bien trop figé. Et puis, voir les personnages en chibi ne m'a pas plu du tout parce que je n'aime pas du tout les chibis, je trouve ça d'une niaiserie à pleurer (comme tous les machins kawaii).
L'intrigue est bien, forcément car elle est issue du canon. Et c'est la seule chose que j'ai aimé dans ce manhwa.
Je lirai tout de même le second tome puisqu'on me l'a offert et qu'il est peut-être meilleur que celui-ci.
CHALLENGE LE TOUR DU SCRABBLE EN 80 JOURS
CHALLENGE MULTI-DÉFIS 2018
Chaque lecteur du canon a son seuil de tolérance concernant les prises de liberté avec l'oeuvre de Conan Doyle. Et je dois dire que The Sherlock Holmes Story a épuisé mes ressources et ceci dès la première page.
Mary Morstan qui devient Mary « Moston » n'est pas une petite erreur, c'est carrément un sacrilège. Et que dire de nos deux comparses qui se tutoient et s'expriment avec la modernité du XXIème siècle alors que l'action se situe à l'époque victorienne.
Notez d'ailleurs que l'auteur nous fourgue une référence bien lourde à Google. Je n'ai rien contre les anachronismes quand c'est bien fait (par Alexandre Astier par exemple) mais là ça tombe comme un cheveu sur le Tteokguk.
Le pompon, c'est tout de même l'absence d'énergie d'Holmes qui a l'air sous calmant du début à la fin de l'épisode. Son visage est inexpressif et, niveau déductions surprenantes, on n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent. On se demande d'ailleurs pourquoi Watson l'admire autant... au point de ramper vers lui comme un chien ! Ce dessin m'a tuée.
Je n'ai d'ailleurs pas aimé le dessin, bien trop figé. Et puis, voir les personnages en chibi ne m'a pas plu du tout parce que je n'aime pas du tout les chibis, je trouve ça d'une niaiserie à pleurer (comme tous les machins kawaii).
L'intrigue est bien, forcément car elle est issue du canon. Et c'est la seule chose que j'ai aimé dans ce manhwa.
Je lirai tout de même le second tome puisqu'on me l'a offert et qu'il est peut-être meilleur que celui-ci.
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