À tous ceux qui auraient cette nouvelle entre les mains, méfiez vous de sa brièveté ! Je ne regarderais plus jamais une nouvelle de 40 pages de cette manière . Attendez vous en effet à vous échiner des heures durant sur le style de Madame de la Fayette, Fifi pour les intimes : tournures de l'époque, intrigue ultra- condensée , arbres généalogiques épineux , c'est à s'en mordre les doigts. On croirait lire du
James Ellroy - sans la grossièreté -. le speech est à peu près convenable mis à part cela , j'ai hâte de commencer
la Princesse de Cleves.
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