J'ai lu ces 156 pages en deux jours et sans
trembler.
Les lecteurs-voyeurs pourront circuler vite : aucun pathos ne dégouline de cet ouvrage.
C'est avant tout un récit de vie dans lequel l'auteur use de subterfuges stylistiques pour essayer de faire comprendre à son lecteur certains de ses symptômes.
Il me semble que Parkinson est le parent pauvre d'Alzheimer : pour beaucoup la maladie se résume à des tremblements…certes, mais pas que… j'aurai aimé que les bénéfices de ce livre aillent à une association qui lutte dans le sillage de cette maladie…mon père souffrait de cette maladie et sa famille entière a été emportée dans ce tourbillon.
Commenter  J’apprécie         30